LA POSTE : UNE SERVICE PUBLIC MODERNE.

La Poste qui occupe une grande place, dans la vie économique, politique, sociale et culturelle dans le pays, doit rester un service public de proximité et de qualité pour tous les citoyens.

Pour cela, nous pouvons faire des propositions qui s’articulent autour de 5 grands axes :

– Appropriation publique des activités postales : dont le socle serait, la démocratisation, des droits nouveaux pour les postiers et leurs organisations syndicales et un aménagement équilibré, solidaire et cohérent du territoire.

– L’unité et la complémentarité de ses réseaux : dont elle dispose aujourd’hui, qui couvre l’ensemble du territoire et des activités de courrier, colis et financières et qui permet une mutualisation des coûts et une plus grande efficacité.

– Un engagement pour le personnel : développer l’emploi, le revaloriser avec des garanties collectives améliorées.

– Un développement des coopérations : au niveau national entre entreprises publiques, entre les postes européennes, qui permettrait la construction d’une Europe sociale.

– Le financement autour d’un pôle financier public en complémentarité avec les fonds régionaux pour l’emploi et le développement solidaire des territoires.

La Poste, avec sa banque postale, doit garantir le droit au compte, au moyen de paiement, à l’épargne.

L’épargne populaire doit être protégée de la spéculation et orientée vers des investissements pour la cohésion sociale et le développement.

2 réponses à “LA POSTE : UNE SERVICE PUBLIC MODERNE.”

  1. remplacer l’alinéa:
    – « Un engagement pour le personnel : développer l’emploi, le revaloriser avec des garanties collectives améliorées ».
    par
    – « Développer l’emploi: le revaloriser avec des garanties collectives améliorées, aussi pour permettre une réelle réinternalisation des activités des filiales et Assistances Techniques, excessivement couteuses. »

  2. Déjà, un titre en français, ce serait bien … « Un service public… » La question de la défense des services publics est effectivement essentielle, mais il faut l’articuler avec les compétences de la région. Ici, ce sont des revendications qui relèvent, pour beaucoup d’une compétence d’Etat et donc de choix nationaux… Par contre l’engagement des élus, à tous les niveaux, contre les fermetures de bureaux de poste … est essentielle.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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