AUDITION PUBLIQUE DE L’OPECST « LES ADJUVANTS VACCINAUX : UNE QUESTION CONTROVERSÉE »

2014 05 22 audition publique opecst (C) ZA

Lors du colloque qui se tenait le jeudi 22 mai 2014 à l’Assemblée Nationale et rassemblait parlementaires, scientifiques et membres de l’association de patients E3M (site internet), de nouvelles études ont confirmé la toxicité probable de l’aluminium des vaccins dans certaines conditions.

Les parlementaires présents, Jean-Louis Roumégas, député de l’Hérault, Danièle Auroi, présidente de la commission des Affaires européennes et deputée du Puy-de-Dôme et Laurence Cohen, sénatrice du Val-de-Marne ont demandé au gouvernement de prendre des mesures fortes afin de protéger les populations des risques sanitaires aujourd’hui avérés.

Cette mobilisation transpartisane soutient la recherche dans le domaine des adjuvants vaccinaux afin d’établir leurs conséquences sur la population le plus rapidement possible.

Grâce à un colloque sur le même sujet, l’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques s’est saisi du problème en organisant, l’après-midi même, une audition publique sur la question controversée des adjuvants vaccinaux.

Tous les présents, y compris les deux parlementaires présidant l’audition, Jean-Louis Touraine Député du Rhône et Corinne Bouchoux, se sont accordés pour rappeler l’importance de la vaccination.

Divers avis ont cependant émergé sur la question des adjuvants durant l’audition. Si, pour tous, la vaccination est un moyen efficace pour combattre ou éradiquer de nombreuses maladies graves ou meurtrières, certains appellent à la prudence quant à l’utilisation des adjuvants composants les vaccins, en particulier le sel d’aluminium. Pour d’autres scientifiques, le profil de sécurité de ces adjuvants est excellent. Il y a là une controverse.

La question de l’évaluation du rapport bénéfice/risque a été posée comme celle de la nécessité de prouver le lien de causalité direct entre ces adjuvants et certaines pathologies telles que myofasciite à macrophages.

Seul un soutien massif de la recherche établissant les conséquences de l’accumulation d’aluminium dans le cerveau permettra d’apporter une réponse.

Ce souhait, déjà exprimé lors du colloque de la matinée, a été rappelé par la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, «  il faut une réflexion basée sur des faits avérés et un dialogue équilibré ».

La recherche peut permettre de trouver des alternatives aux adjuvants tel un remplacement par d’autres composants.

A la fin de cette audition, Corinne Bouchoux a émis le souhait « qu’un nouvel effort de recherche à destination des patients et victimes soit mené car seule une meilleure connaissance scientifique pourra ramener la confiance des citoyens. »

Pour revoir l’audition en vidéo

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