Christophe Najdovski en convient lui-même, il n’est pas l’homme des petites phrases. A 44 ans, le candidat des écologistes à la mairie de Paris a mangé sa soupe de la politique politicienne. «Plusieurs fois, on m’a dit : "Si tu veux exister dans la campagne, il faut que tu cognes." Mais voilà je ne suis pas un cogneur.» Peu importe, donc, le manque de visibilité politique, l’écologiste veut se concentrer sur le fond. «J’ai l’habitude de dire que certains aboient et la caravane passe.» Mercredi soir lors du premier débat télé de la campagne, il tentera de faire entendre sa voix entre Nathalie Kosciusko-Morizet et Anne Hidalgo qui monopolisent jusqu’ici l’attention.
A Paris, le Vert Najdovski se rêve en «premier homme»
28 Janvier 2014
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