Le 15 Novembre s'est tenu à Paris le forum régional EELV. Les élu/es régionaux y ont présenté le bilan de ce mandat et les avancées obtenues par les écologistes.

Cette réunion de bilan, animée par le président du groupe des écologistes au Conseil Régional, Mounir Satouri, avait aussi pour objectif de démontrer la manière dont l’institution régionale intervient dans la vie quotidienne des Franciliens.

 

Le bilan exhaustif des quatre premières années de mandat est ici 

Cette journée était également l'occasion de présenter le mag "Ecoloplus", qui va être distribué par lesmilitant/es et élu/es lors de plusieurs "vagues vertes" :  il est en lecture complète ici

 

 

 

 

 

 

Dans cet esprit, Emmanuelle Cosse, Vice-présidente au Logement a présenté le bilan "Logement", axe majeur des écologistes même s'il s'agit d'une compétence non obligatoire de la Région.

 

 

 

Ensuite, Pierre Serne, Vice-Président aux Transports, a détaillé les investissements majeurs qui ont été effectués pour permettre aux habitants de la région de se déplacer via des transports rapides, durables, accessibles à tous et articulés autour de tarifications adaptées aux ressources du plus grand nombre.

 

 

 

 

Le développement économique, compétence phare du Conseil régional, a été abordé par la conseillère régionale Sophie Renard, présidente de la commission dédiée. Cette dernière a démontré comment les écologistes ont impulsé, au cœur des politiques régionales, l’économie sociale et solidaire ainsi que l’économie du partage.

 

 

 

 

 

Une autre des compétences incontournables et obligatoires des conseils régionaux est la gestion des lycées. Sur ce sujet, le conseiller régional, Bastien François, a souligné l’importance de placer les lycéens en situation de responsabilité. Cet objectif a été atteint lors du mandat avec notamment l’instauration dans certains lycées de budgets participatifs qui permettent aux jeunes de faire des choix opérationnels pour leurs établissements.

 

 

 

 

Cette matinée a permis également à Laure Lechatellier, Vice-Présidente chargée de la Santé et de l’Actionsociale, de présenter son bilan de mandature. Cette dernière a insisté particulièrement sur l’effort réalisé sur les formations sanitaires et sociales qui permettent aux diplômés d’accéder à des emplois locaux, non délocalisables et à forte utilité sociale. Par ailleurs, la Vice-Président, a expliqué son choix d’avoir beaucoup travaillé sur le liens entre santé et alimentation, notamment en permettant de rendre plus accessible les produits bio et locaux.

 

Ce choix politique en faveur d’une agriculture de proximité est, comme on peut l’imaginer, en lien direct avec les modes de distribution et de vente. La volonté de retisser un lien entre consommateur et producteur prend là tout son sens. C’est précisément sur cet enjeu que Corinne Rufet, Vice-Présidente à l’Environnement, l'Agriculture et l'Energie, a explicité son action qui vise à impacter toute la chaine de valeur, du champ à l’assiette. La Vice-Présidente a aussi évoqué, de manière plus générale, les politiques publiques menées pour lutter contre le réchauffement climatique et la précarité énergétique.

 

 

Au carrefour des questions de logements et d’agriculture, Alain Amédro, Vice-Président en charge del’Aménagement du territoire, s’est employé à expliquer la capacité de la région, au travers de ses politiques publiques, de préserver les terres cultivables face à une urbanisation rampante

 

 

 

 

Un autre aspect fondamental de vie quotidienne des citoyens est le sentiment de sécurité dans l’espace public. Jean Lafont, conseiller régional, président de la commission Politique de la ville, est donc intervenu pour présenter son travail réalisé dans le sens d’une approche articulée sur la médiation, et pas seulement basée sur la vidéo surveillance.

 

Même si ce n’est pas une compétence obligatoire du Conseil régional, la culture est au cœur de la réflexion des écologistes. La conseillère régionale présidente de la commission Culture, Nabila Kéramane, a insisté sur l’importance de la présence du Conseil régional auprès des acteurs de la culture, et plus particulièrement concernant les fabriques de cultures et les arts de la rue.

 

 

 

Enfin, le conseiller régional, Michel Bock, président de la commission Affaires Internationales a rappelé que le conseil régional n’était pas une institution repliée uniquement sur ton territoire mais au contraire qui était solidaire d’autres territoires, parfois très éloignés géographiquement de la France. Ce fut l’occasion de rappeler le partenariat existant entre Jésrusalem-Est et le conseil régional d’Ile-de France.