En Auvergne, comme en Ile-de-France notamment, les élus Verts rappellent que les lignes TGV sont une compétence nationale, et qu'elles doivent donc être financées par l’Etat... et pas par les Régions. A l'heure où le monde politique se déchire pour savoir qui aura la paternité d'un TGV auvergnat (s'il se concrétise), et puisque les finances locales vont être largement contraintes à l'avenir (disparition des marges fiscales, augmentation des dépenses obligatoires sur les lycées, la formation, le TER...) , il faut oser dire la vérité aux Auvergnats sur ce que peut induire un tel choix budgétaire, qui empêcherait tout autre choix politique pour des décennies.
Pour les Verts, au regard du budget régional, l'urgence demeure l’amélioration du réseau de transports en commun de proximité.