CQVNLP n°38 : la Commission du 3 mars 2008
Par nicole rouaire le mardi 1 avril 2008, 17:15 - Ce que vous ne lirez pas... - Lien permanent
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Commission permanente de mars 2008....
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Par nicole rouaire le mardi 1 avril 2008, 17:15 - Ce que vous ne lirez pas... - Lien permanent
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Commission permanente de mars 2008....
Commentaires
Si j'ai bien compris, Agnès semble approuver la mise en place des bornes informatiques pour remplacer les services publics. Je ne suis pas sûr que nous devions appuyer une évolution des moeurs dans ce sens ! Le contact humain direct est irremplaçable à mon sens ; et on exclut ainsi toute une partie de la population qui n'aime pas ou ne sais pas utiliser ce genre de solution.
Amitiés vertes,
François Boureux
Salut François,
Que je sache, ce n'est pas le Conseil Ré qui décide de la disparition des services publics en France... C'est plutôt d'une part l'État de droite (mais hélas de gauche aussi...) qui ne trouve plus pertinent le maintien des services publics dans les territoires. Et aussi les usagers qui ont pris l'habitude de moins les utiliser , on le voit pour la Poste ou l'hôpital. Je m'empresse de te mettre les ponts sur les i , je n'approuve pas ! Je constate...
Par contre, le Conseil Ré essaie de trouver une solution de compensation. On peut ne pas aimer utiliser un service internet (y a encore plein de gens qui détestent laisser un message sur un répondeur téléphonique), c'est pourquoi le système utilisé permet de voir son partenaire en direct, les yeux dans les yeux.
Si on ne sait pas, ce service ne laisse pas l'usager seul, puisque les bornes utilisateurs sont placées le plus souvent dans les locaux des communautés de communes, dans un local séparé pour la confidentialité, à côté d'un local occupé par une personne compétente et formée à la manipulation de la borne.
J'y vois au moins un avantage, l'usager n'a plus à prendre sa voiture perso (sans remboursement des frais de déplacement et avec émission de GES) et à faire jusqu'à 60 km AR pour se rendre à la permanence de la CAF ou de l'ANPE.