Mettons l’écologie en tête !

Le 11 janvier 2015, les Français se sont rassemblés pour défendre les valeurs de la République. Sachons nous mobiliser pour des causes humanistes qui transcendent nos appartenances partisanes.

J’ai signé l’appel : « Nucléaire, arrêtons les frais ! »

Je me suis engagée à prendre les décisions découlant de la signature de cet appel si je suis élue.e député.e. Texte de l’appel: L’industrie nucléaire est au bord du gouffre. Alors qu’EDF accuse 37 milliards d’euros de dette et qu’Areva est en quasi-faillite, l’usine Creusot Forge est secouée par un vaste scandale de malfaçons et de de falsifications. En pleine période d’austérité budgétaire, l’État compte de nouveau renflouer ces entreprises avec l’argent des contribuables à hauteur de 7 milliards d’euros ! Le bon sens exigerait de tourner la page du nucléaire. Mais le gouvernement, main dans la main avec l’industrie nucléaire, persiste à vouloir mener à bien quatre projets délirants, aussi coûteux que dangereux : Le rafistolage des vieux réacteurs pour prolonger leur fonctionnement, pour un coût compris entre 100 et 250 milliards € La construction du réacteur EPR de Flamanville, pour un coût de 10,5 milliards € La construction de CIGÉO, ce projet d’enfouissement en profondeur des déchets les plus radioactifs, pour au moins 35 milliards € L’entretien et la « modernisation » de l’arsenal nucléaire français, pour un coût de 3,87 milliards € en 2017 ! Je refuse que des milliards supplémentaires soient engloutis dans ces puits sans fond ! J’exige que la France tourne la page du nucléaire civil et militaire, et s’engage dans une véritable transition !

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J’ai signé l’appel zéro déchets

Inspiré par les actions ambitieuses et fructueuses menées par Zero Waste Europe et 15 groupes locaux Zero Waste en Europe, le Cniid lance Zero Waste France et appelle tous ceux qui le souhaitent à se joindre à cette démarche prônant la sobriété et l’efficacité dans l’utilisation de nos ressources, et la réduction du gaspillage et des déchets par l’éco-conception, la consommation responsable, le réemploi et la valorisation matière. La création du mouvement Zero Waste France est une véritable opportunité de tirer le meilleur de toutes les expériences innovantes qui ont contribué, en France comme à l’étranger, à alléger la pression sur nos écosystèmes, à réduire nos déchets et à créer de formidables dynamiques sociales et économiques locales. Nos modes de production et de consommation linéaires ne sont plus viables. Il est donc temps d’opérer ensemble un changement de paradigme, en allant bien au-delà de l’objectif européen actuel de devenir une société du recyclage, pour se donner pour ambition de parvenir à une société Zero Waste. Par leur action, les pionniers du mouvement Zero Waste ont déjà permis dans certaines collectivités de réduire jusqu’à 80% les déchets résiduels, de maximiser le recyclage et la valorisation organique et de développer des emplois locaux dans la réparation et le réemploi, sans surcoût pour la collectivité. Car ces changements ne se feront pas sans l’implication du plus grand nombre, toutes les forces vives de la société sont appelées à prendre part au mouvement. Citoyens, associations, collectivités et administration, élu(e)s et entreprises, nous avons chacun notre rôle à jouer dans la mise en œuvre d’une société Zero Waste, économiquement et écologiquement viable, et socialement innovante.

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J’ai répondu Présente! à l’Appel des Solidarités

J’ai répondu Présente! à l’appel des solidarités lancé à l’initiative de plus de 80 associations œuvrant contre la pauvreté et les conditions de vie indignes, pour la protection de la planète, pour la solidarité internationale, pour la défense des libertés et des droits humains, pour le droit des femmes, pour la jeunesse, les personnes discriminées et exclues, pour les personnes en situation de handicap, pour une démocratie pour et par tous et toutes. Parmi elles : Les jours heureux, Action contre la faim, Alternatiba, les apprentis d’Auteuil, l’association des paralysés de France, ATD Quart Monde, ATTAC, CCFD, les Colibris, Emmaus, la Fondation l’Abbé Pierre, la Fondation Nicolas Hulot, France Nature Environnement, France Terre d’Asile, Greenpeace, les Amis de la terre, la Ligue des droits de l’Homme, la LPO, Médecins du Monde, Osez le Féminisme, les scouts et guides de France, le Secours catholique, le secours islamique de France, la SPA, WWF, etc. Texte de l’appel : A celles et ceux qui ont l’impression que quelque chose ne tourne pas rond A celles et ceux qui ne se sentent pas bien représenté(e)s, ni écouté(e)s. A celles et ceux qui vivent une réalité en décalage avec celle qu’on voit sur les écrans. A celles et ceux qui continuent de s’entraider là où on nous dit qu’il faudrait se replier. A lutter contre la discrimination et l’exclusion. A protéger la nature que d’autres veulent détruire, surexploiter ou épuiser. A celles et ceux qui sont parfois envahi(e)s par un sentiment d’impuissance ou de désarroi. A celles et ceux qui se croient seul(e)s à penser comme ça. A celles et ceux qui ne s’empêchent pas de rêver que, peut-être, il n’est pas trop tard pour changer de cap. Et que ça, c’est déjà commencer à changer le monde. A celles et ceux qui considèrent que notre destin est ce que nous avons en commun. Que la solidarité, c’est résister ; et construire l’avenir. Qu’ensemble, nous formons une force immense que rien ne peut arrêter. A celles et ceux-là, nous adressons l’Appel des Solidarités. L’Appel à se rassembler, se compter, pour que les 5 caps des Solidarités guident toute action et toute décision politique dans le prochain quinquennat. Nous avons un énorme pouvoir, faisons-le savoir. Les associations font l’Appel. L’Appel des Solidarités. Répondons Présent ! Nous avons un énorme pouvoir, faisons-le savoir. Je réponds Présente! à l’Appel des Solidarités. appel-des-solidarites.fr

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J’ai répondu au collectif contre la fermeture des collèges dans l’Eure

Laetitia SANCHEZ Candidate à l’élection législative 1ère circonscription de l’Eure Evreux, le 24 mai 2017 Mesdames, Messieurs, Je vous remercie pour votre interpellation et pour votre engagement. Vous lancez l'alerte sur un sujet crucial : l'éducation. C'est la cohésion de notre société et la formation des futurs citoyens de notre pays qui sont en jeu. Les discours s'accordent pour faire de l'éducation une priorité, mais qu'en est-il dans les faits ? La décentralisation a amené les collectivités locales à prendre en charge les structures éducatives. Cela ne peut se faire sans une totale cohésion avec les instances pédagogiques, pour la réussite de tous les élèves. Cela nécessite la participation des élus locaux, qui connaissent les besoins, les risques et les opportunités de leurs populations. Cela nécessite aussi l’adhésion des parents d’élèves. Les syndicats enseignants et les fédérations de parents d'élèves ont un rôle majeur à y jouer, dans les négociations, dans le lien entre les collèges, mais aussi parfois en opposition à des décisions qui vont à l'encontre de la réussite des élèves : quand elles compromettent l’accès égal de tous à l’éducation, ou qu’elles en dégradent la mise en œuvre matérielle (sureffectifs des classes, suroccupation des locaux et des équipements…). La cohésion sociale est en jeu, sous la responsabilité du Préfet. Sans aucune concertation, le président du département de l'Eure, M. Sébastien Lecornu, a fait l'annonce unilatérale de la fermeture de plusieurs établissements scolaires. Cette décision est basée sur des considérations budgétaires, conséquence des lois de décentralisation. L’annonce vise des établissements d'éducation prioritaire, dans le quartier de la Madeleine à Evreux et à Val de Reuil, et dans un deuxième temps l'établissement rural de la Barre en Ouche. Des populations fragiles, et sans doute plus dociles. C'est la présence de la République dans tous ses territoires qui est ici remise en question. A la Madeleine comme à Val de Reuil et à la Barre en Ouche, le collège est au coeur d'un réseau éducatif. Un réseau d'écoles primaires d'abord, qui bénéficient des projets structurants d'éducation prioritaire, dans un travail quotidien de liaison, de cycle et d'échanges. Les collèges sont aussi au coeur de la vie de quartier, en lien avec les équipements culturels et sportifs. Gymnase, piscine, bibliothèque, théâtre, font vivre les quartiers, en lien avec les établissements scolaires. Que ce soit dans les quartiers populaires ou en zone rurale, des établissements publics à taille humaine sont des vecteurs d'intégration sociale, c'est la République. Et avant tout, ce sont des projets de territoires, de villes, d’habitants et d’élèves qui habitent au pied de leur collège. Faire disparaître les services publics, c'est renforcer la fracture qui déchire notre corps social. La perte d'interlocuteurs de proximité, engagés sur tout le territoire, c'est mener à une France à plusieurs vitesses : celle des quartiers et banlieues aisés, où l'on dispose de services publics, de transports, d'équipements culturels et sportifs, de commerces. Celle des villes et banlieues défavorisées, où les élus doivent se battre pour conserver les transports, les services, les écoles, les commerces. Les populations doivent se débrouiller par elles-mêmes pour se déplacer et accéder aux services. Le mode de déplacement principal de beaucoup, c’est la marche, faute de choix. Dans certaines familles, la cantine et les cartes de transport restent un luxe. L’école doit rester un service de proximité pour ceux-là, tant qu’on n’a rien réinventé d’autre en matière de logement, de mobilité, de mixité. Concernant les populations rurbaines ou rurales, les bus scolaires et la voiture pour les parents constituent le lien avec l’école. Ceux-ci, on les promène, on les sectorise, en fonction des transports existants, des besoins d’effectifs des collèges, au nom de la mixité, mais en fonction aussi parfois d’intérêts clientélistes, poussés par les parents d’ici où là. On voit qu’une concertation est indispensable, entre toutes ces populations, les élus, les instances pédagogiques, les représentants des enseignants et des parents d’élèves : pour un projet d’éducation à l’échelle du territoire qu’occuperont demain les élèves d’aujourd’hui. L’accès à une éducation de qualité doit permettre à chacun de s’insérer dans une société de plus en plus technologique, où les métiers ne cessent et ne cesseront d’évoluer. Avant la formation tout au long de la vie, une solide formation initiale est nécessaire. Il ne s’agit pas là que de garder les collèges ouverts - cela, je souhaite qu’on le gagne pour tous les collèges Eurois, et ailleurs, pour les raisons que j’ai citées. Il s’agit aussi que l’Éducation nationale et les rectorats fournissent à ces collèges, lycées, universités, les moyens nécessaires d’assurer leurs missions éducatives. Notamment en termes de nombre d’enseignants et de remplaçants, et aussi de formations pour ceux-ci. L’autonomie des établissements, autrement dit les études pour les élites, certains pays s’y sont rués, comme les Etats-Unis ou le Royaume-Uni. Nous en connaissons les conséquences. L’Allemagne est revenue dessus, avec un retour à la gratuité, dans l’intérêt du pays. Les pays du Nord restent eux aussi dans la gratuité. L’accès libre et gratuit à l’éducation, c’est la garantie minimum de la possibilité d’un ascenseur social, nous y sommes absolument favorables. Si nous n’y prenons pas garde, et si l’on continue de couper les élèves de certains quartiers de l’éducation, nous continuerons à renforcer la ghettoïsation. Si nous continuons à couper des pans de populations des études, ce sera l’abandon du projet républicain. En vous remerciant de votre question, Croyez en ma volonté d’élue de défendre l’éducation, et de la faire avancer ensemble dans l’intérêt de tous les citoyens. Laetitia SANCHEZ Europe Ecologie Les Verts

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