Archives de : fredericpuzin

  1. EELV soutient les grévistes de la faim contre les sels d’aluminium dans les vaccins

    Logo EELV

    Lundi 26 novembre 2012, des personnes atteintes de myofasciite à macrophages ont entamé une grève de la faim place de la Bourse à Paris, pour protester contre la présence de sels d’aluminium dans les vaccins. Une conférence de presse organisée par l’association E.3M en présence d’André Cicolella, chercheur français en santé environnementale, Jacques Boutault, Maire du 2ème arrondissement, soutenue par Aline Archimbaud, Sénatrice et Michèle Rivasi, Députée Européenne, s’est tenue dès ce lundi devant le bus des grévistes de la faim.

    EELV apporte son soutien aux grévistes de la faim et à leur combat légitime.

    EELV appelle à un renforcement de la recherche sur les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants dans les vaccins. Les autorités sanitaires françaises doivent appliquer le principe de précaution en remettant immédiatement à disposition un vaccin DTPolio sans adjuvant, le DTPolio étant obligatoire pour les enfants en collectivité.

     

    Elise LOWY, Jean-Philippe MAGNEN, Porte-parole

  2. L’égalité des droits progresse…encore un petit effort !

    Souvenez vous : en juin 2004, Noël Mamère, maire EELV de Bègles, proclamait le mariage de deux hommes et déclenchait une polémique. Nous retiendrons de cet évènement qu’il a produit un débat dans notre société qui aboutit aujourd’hui (enfin !) au droit au mariage pour tous. Les écologistes ont toujours été à la pointe dans ce combat pour l’égalité des droits. Nous nous réjouissons donc que dès l’année prochaine soient célébrés en mairie de Sèvres des mariages unissant des personnes de même sexe comme de sexe différent. Nous nous réjouissons également des propos du maire relatés par la presse qui, bien qu’hostile au principe du mariage pour tous, ne semble pas avoir l’intention de s’y opposer.

    Autre sujet de citoyenneté : le vote des ressortissants étrangers. Sur cette question, nous déplorons le recul du Président de la République qui avait pourtant inscrit ce droit de vote aux élections locales dans ses propositions de campagne. Pour les écologistes, les personnes qui vivent dans notre pays depuis des années, payent des impôts comme les citoyens français, participent à la vie de notre commune, devraient pouvoir choisir leurs élus municipaux. C’est une question de justice et là encore d’égalité des droits ! Ensemble, poursuivons nos efforts pour une société plus démocratique !

    Catherine Candelier, conseillère municipale de Sèvres

    Luc Blanchard, conseiller municipal de Sèvres

    Tribune du « Sévrien » de décembre 2012

  3. Sommet de Doha : pour le climat, l’inaction n’est pas une option

    Logo EELV

    Ce 26 novembre s’ouvre à Doha un nouveau sommet international sur le changement climatique. Tout laisse penser, à ce stade, que cette conférence pourrait être un nouvel échec, et qu’aucun accord – ou, pour le moins, aucun accord solide – n’y interviendrait quant à l’avenir du protocole de Kyoto conclu en 1992. Le protocole prend fin le 31 décembre, soit un peu plus d’un mois, et les parties prenantes ne sont toujours pas parvenues à s’accorder sur les suites à lui donner.

    Le Sommet de Doha devrait pourtant avancer sur la seconde période d’engagement du protocole de Kyoto dont la mise en place nécessite des décisions importantes (États participants, modalités d’engagement, période…). De même, la préparation d’un accord juridiquement contraignant, avec des objectifs par pays, à trouver pour 2015 (pour entrée en vigueur en 2020) doit impérativement progresser à Doha.

    Les informations ne manquent pourtant pas sur ce que seraient les conséquences et les coûts – environnementaux, mais aussi sociaux et économiques – de l’inaction en matière de dérèglement climatique. Le récent rapport publié par la Banque mondiale est venu, de ce point de vue, s’ajouter aux nombreuses alertes lancées, ces dernières années, par la communauté scientifique, sur les impacts désastreux d’une hausse brutale de la température du globe.

    Europe Écologie Les Verts, comme l’ensemble du mouvement écologiste mondial, appelle la communauté internationale à hisser enfin son action à la mesure des enjeux. La gravité des risques est trop grande. L’inaction n’est tout simplement pas une option.

     

    Parmi les questions laissées en suspens, la définition des modalités d’abondement du « Fonds vert », décidé à Cancun en 2010, censé recueillir 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 notamment pour aider les pays en développement à financer des mesures d’adaptation, n’est toujours porté par aucune décision concrète.

    Plusieurs parlementaires et élus EELV seront présents à Doha. Ils et elles rendront compte, au cours des discussions et à leur retour de la conférence, de leurs points de vue sur le déroulement de la conférence.
    Elise LOWY, Jean-Philippe MAGNEN, Porte-parole

  4. Stéphane Gatignon lors de sa grève de la faim pour Sevran

    Un reportage d' »environnement sonore » sur http://environnement-sonore.org/?p=203

    Le son est ici

     

    Après plus de dix années comme maire de Sevran, en Seine St Denis ; dix années à se battre avec les gouvernements successifs pour faire entendre un cri d’alarme qui reste, jusqu’à ce jour, lettre morte ; dix années à jongler avec un budget bien trop maigre pour la tache à accomplir et dérisoire, en comparaison avec ses voisines…Stéphane Gatignon est dos au mur. Il a choisi de se mettre en danger personnellement pour le bien de ces concitoyens; une abnégation dont beaucoup de politiques devraient s’inspirer…

    Stéphane Gatignon, élu EELV campe devant l’Assemblée Nationale et proteste, sous forme d’une grève de la faim pour que le partage des richesses en IDF devienne un peu plus juste. Si certaines villes alentours bénéficient de budgets – en grande partie liés aux entreprises présentes sur leurs territoires – parfois tels, qu’elles se parent d’illuminations de fin d’année à 1 M€ ou de « palais » (des sports, de la culture…) à plus de 40M€ chacun, Sevran, comme certaines de ses jumelles doivent se contenter des miettes et n’ont même plus les moyens de finir une crèche, de rénover une école ou pire encore, d’emprunter pour rembourser leurs prêts !

    Pourtant, ce sont souvent les habitants de ces laissées pour compte qui produisent la richesse des quartiers de la Défense ou de Paris.

    A bout de force après 5 jours et 5 nuits passés dehors dans le froid et sans manger, mais toujours prompt pour défendre sa cause, Stéphane Gatignon nous répond, entouré de dizaines de citoyens de tous horizons venus le soutenir et le réconforter dans sa bataille contre un certain abandon des banlieues pauvres…

    Parmi ses soutiens, beaucoup de résidents de la ville qu’il dirige, Sevran, mais pas que.

    Sam est un ancien citoyen de Sevran et habite maintenant Aubervilliers; pas vraiment mieux lotie… Il ne pouvait envisager de ne pas soutenir celui qu’il appelle Stéphane (comme beaucoup à Sevran) et qu’il a vu se battre pour sa ville, ses infrastructures menacées et, comme il le dit, pour ceux qu’il appelle « ses » enfants et dont les écoles elles mêmes sont menacées, d’année en année…

    Il apporte du thé à la menthe et du réconfort à cet élu, pour qui sa considération n’a jamais faibli.

     

     

  5. Le Grand Paris de la démesure par Vincent Gazeilles, conseiller général de Clamart

     

    Loin des enjeux de qualité de vie et de développement durable, le projet de Grand Paris nous promet une extension tous azimuts de l’Île-de-France via des projets urbains conséquents, un accroissement de la population et de très coûteuses lignes de transports hors des zones d’habitation, pour un montant total estimé de plusieurs dizaines de milliards d’euros !

    Même si Noël approche, il faut avoir le courage de dénoncer ce projet pharaonique, alors que la crise, la dette et le contexte de rigueur actuel nous imposent de faire au mieux avec peu.

    • Initié par le gouvernement précédent, ce pilotage étatique d’une région est d’abord la négation du principe de décentralisation qui donne aux conseils régionaux la maîtrise de leur devenir.
    • Ensuite, le choix de soutenir financièrement une attractivité et un développement sans limite de la région parisienne s’oppose directement au développement équilibré de la France, alors que d’autres territoires sont plus en difficulté en province.
    • La concentration d’activités et de populations pose plusieurs problèmes dont la hausse inévitable du coût des terrains, des logements ainsi que le bétonnage inacceptable de zones boisées, non construites ou agricoles (plaines de Saclay ou de Montjean etc.).
    • Le Grand Paris vise 70 000 nouveaux logements par an mais oublie les annexes (crèches, écoles, espaces divers, déchetteries, plate-formes multimodales, gestion des marchandises etc.).
    • Le projet complet de réseau de transports en commun du Grand Paris Express est hors de prix (évalué à 35 milliards). Investir de telles sommes sans réflexion critique sur le choix des technologies et des matériels au regard des besoins est irresponsable. C’est la meilleure façon de vider les caisses pour de luxueux aménagements et être incapable ensuite d’assurer la rénovation, l’amélioration ou l’extension des métros, RER, tramways et bus existants.
    • Si une rocade en zone dense autour de Paris apparaît utile pour anticiper la baisse inévitable de la circulation routière, une analyse fine des besoins et des coûts doit permettre une planification plus optimisée.

    Un développement équilibré et durable de notre région et des autres régions françaises implique l’arrêt de l’extension de l’Île-de-France, la préservation indispensable de toutes les terres agricoles et des espaces de nature, la possibilité de se loger dignement et de se déplacer via des transports en commun adaptés aux besoins et correctement entretenus.

    Au delà de sa belle communication, le Grand Paris ne répond pas à ces objectifs. Une révision s’impose.

    Vincent Gazeilles
    contact@gazeilles.net
    01 40 95 14 31
    http://www.gazeilles.net

  6. Législative partielle 92-13 : EELV appelle à l’union pour battre le candidat UMP

    Législative partielle 92-13 : EELV appelle à l’union

     pour battre le candidat UMP

     

    L’annulation par le Conseil Constitutionnel pour irrégularité de l’élection de Patrick Devedjian à l’Assemblée Nationale sur la treizième circonscription des Hauts-de-Seine entraîne une élection partielle les 9 et 16 décembre prochains.

    En juin dernier, le candidat EELV, Fabien Feuillade avait réalisé un très bon score au premier tour en remportant 11,56% des suffrages, marquant ainsi l’implantation de l’écologie politique dans la treizième circonscription face au député sortant cumulard de mandats électifs dont l’absentéisme à l’Assemblée Nationale est notoirement connu.

    L’élection partielle des 9 et 16 décembre représente l’opportunité de mettre fin au règne de Patrick Devedjian, c’est pourquoi EELV a décidé d’apporter son soutien au candidat présenté par le PS et le MRC dès le premier tour.

     
     

    Contact presse :

     

    Catherine Candelier, porte-parole EELV 92, conseillère municipale de Sèvres,

    Loïc Le Naour, porte-parole EELV 92, conseiller municipal de Meudon

     

  7. EELV GPSO commence à se mettre en place pour 2014.

    Communiqué de presse Europe Ecologie Les Verts – GPSO

     

    Europe Ecologie Les Verts

    Meudon, le 09 novembre 2012

     



    Le groupe EELV Grand Paris Seine Ouest (L’intercommunalité des 7 communes des Hauts-de-Seine : Boulogne-Billancourt, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, Vanves et Ville-d’Avray) s’est réuni, à Meudon,  dans le cadre de la mise en place des échéances de 2014.

     

    Le groupe EELV-GPSO est favorable au développement de l’intercommunalité qui permet de mutualiser et d’améliorer les services à la population, en apportant des réponses à l’échelle d’un territoire plus large que celui de chacune des villes et d’atténuer les inégalités territoriales par une meilleure répartition des moyens. Dans la mesure ou des intercommunalités fortes permettent aussi la réalisation et la pérennisation de projets importants, difficilement viables à l’échelle communale mais intéressants pour les habitant-e-s.

     

    Seulement, l’impact de cette administration décentralisée, en termes de mutualisation des moyens, d’économies d’échelle ou de nouveaux services rendus n’apparaît pas de manière flagrante, même si l’on trouve des exemples en ce sens et s’il n’apparaît pas, pour l’instant, de dérive financière globale des ensembles consolidés.

    La gestion locale n’est pas à ce jour gagnante en termes d’économie et d’efficacité.  Elle ne met pas en oeuvre les grands projets d’aménagement ou d’équipement permettant de rationaliser les services à la population qui peuvent ou doivent l’être à un niveau supra-communal.

    Alors, comment les électeurs de GPSO peuvent-ils choisir la politique à mener ? Les élections municipales sont les seules occasions organisées pour les électeurs  pour exprimer leurs opinions sur un projet qui engage le devenir de nos villes et des populations, même s’il reste d’autres moyens, comme les pétitions directes, les demandes, les médias et en manifestant.

    Soucieux que ce choix puisse se faire autour d’un véritable projet de territoire et avec un vrai débat avec les citoyen-ne-s et le personnel communal. EELV-GPSO demande que les politiques engagées par les candidats lors des élections municipales contiennent les politiques de la communauté d’agglo afin que les électeurs puissent agir sur le niveau intercommunal et faire que soit dépassé l’intérêt de chaque commune.

    Le groupe EELV GPSO qui ne partage pas la politique menée actuellement au niveau de cette communauté va prochainement proposer son projet intercommunal ainsi que ses réserves sur le projet Grand Paris et sur l’Accord cadre territorial.

     

  8. « Construire une compétitivité sur le long terme, sans gaz de schiste » : Hélène Gassin et Jean-Philippe Magnen sur Mediapart

     

    http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/061112/construire-une-competitivite-sur-le-long-terme-

    L’exploitation des gaz de schiste est une absurdité », tonnent Hélène Gassin, vice-présidente à l’environnement, à l’agriculture et à l’énergie du conseil régional d’Ile-de-France, et Jean-Philippe Magnen, porte-parole national d’EE-LV, démontrant via le « langage économico-centré [que certains patrons] ont tort » de proposer l’exploitation de cette énergie comme un des moyens de favoriser la compétitivité des entreprises basées en France.

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    Même au nom d’une économie classique et d’une logique étroite de compétitivité, l’exploitation des gaz de schiste est une absurdité.

    Dans leur appel à François Hollande pour un choc de compétitivité, 98 patrons français se positionnent pour l’exploration et l’exploitation «des ressources nationales comme les gaz de schiste». Le rapport Gallois publié ce 5 novembre 2012, listant des mesures pour relancer la compétitivité, prône la reprise des recherches sur l’exploitation des gaz de schiste. Dès sa publication, le gouvernement français a d’ores et déjà indiqué que cette piste serait exclue. Nous saluons cette position claire du gouvernement dans la lignée du discours de François Hollande prononcé lors de la Conférence environnementale de septembre 2012 où il avait exprimé fermement qu’il excluait de délivrer, sur tout le quinquennat, tout permis d’exploiter les gaz de schiste par fracturation hydraulique. Mais nous souhaitons revenir sur le fond de ce dossier.

    Nous ne chercherons pas à convaincre ces patrons sur le terrain de la protection de l’environnement, de l’impact sur l’économie locale du tourisme et sur l’agriculture, des conséquences pour les réserves en eaux, de la protection de la santé des travailleurs et des riverains, de la protection du climat… autant d’arguments qui semble-t-il ne les intéressent pas. Utilisons plutôt leur langage économico-centré pour montrer qu’ils ont tort, même dans leur propre mode de pensée.

    La «raison économique» impose d’attendre

    Dans leur tribune, «Une fracture en attente de devis», les économistes Amélie Méjean et Stéphane Hallegatte proposent un calcul de bon gestionnaire. Considérant que le prix du pétrole et du gaz va augmenter à l’avenir, il est rationnel économiquement d’attendre pour éventuellement exploiter les gaz de schiste: il sera plus rentable de les exploiter pour remplacer une ressource chère. C’est une problématique bien connue des pays miniers. Les deux économistes calculent ainsi que garder ce réservoir intact, pour l’exploiter éventuellement dans deux décennies, représenterait en soi un placement financier virtuel dont le rendement est évalué à 5,5 % par an sur vingt ans. Même convaincus de la nécessaire exploitation de nos ressources fossiles, nous devrions le faire le plus tard possible au seul motif de la rationalité économique. Voilà la démonstration que ces patrons ne savent pas gérer au-delà du bout de leur nez: le problème de compétitivité des entreprises françaises vient probablement plus de là que de l’origine du gaz…

    Une question de priorités

    Il faut évidemment ajouter à ce raisonnement plusieurs éléments. Ce délai de vingt ans nous donnera le temps d’organiser la vraie transition énergétique, qui amoindrirait l’obligation d’importations massives d’énergies fossiles au profit d’autres solutions, durables. Sur le champ de l’emploi, il est de plus avéré que les investissements réalisés dans les gaz de schiste seraient bien moins créateurs d’emplois que les mêmes niveaux d’investissement dans l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables.

    Les patrons appellent également à subordonner la lutte contre le changement climatique au maintien de la compétitivité. Les écologistes répondent que la lutte contre le changement climatique est source de compétitivité et de résilience de l’économie. Sans compter que philosophiquement, il semblerait plus logique d’avoir une économie un peu moins performante dans un monde viable, plutôt qu’une économie très performante dans un monde invivable.

    Le coût de l’énergie pousse à la compétitivité

    La question de la compétitivité des entreprises n’a rien à voir ni avec la provenance du gaz, ni avec la lutte contre le changement climatique, ni même avec le prix de l’énergie. Un regard outre-Rhin nous indique que, si certaines entreprises reçoivent un soutien pour l’accès à une énergie bon marché de par leur activité énergivore, globalement l’économie allemande est plus compétitive malgré un prix de l’énergie plus élevé et un effort en faveur du climat bien plus important. Cette compétitivité est même en partie obtenue «grâce» à une énergie chère, décidée par le gouvernement au moyen de différentes taxes: une énergie chère est source de compétitivité puisqu’elle pousse à la recherche et développement en faveur de l’efficacité énergétique.

    Les vraies «ressources nationales»

    Mais les écologistes rejoignent pourtant les patrons sur quelques points: il faut mobiliser les «ressources nationales». Les principales ressources nationales, les vraies, sont les gigantesques gisements d’efficacité énergétique d’une part et les énergies renouvelables d’autre part: développons les deux massivement, et notre compétitivité sera améliorée autant que notre déficit commercial sera réduit. Il faut d’ailleurs se féliciter que l’efficacité énergétique soit enfin reconnue par les patrons comme stratégiquement prioritaire. Les écologistes le disent depuis des décennies et sont heureux de savoir que les patrons rejoignent leur analyse. Gageons qu’ils ne tarderont pas à faire de même sur d’autres sujets…

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