Depuis le 1er juin, date du dépôt de bilan de Charles Doux, les éleveurs comme les salariés vivent dans l’incertitude. Les banques n’ont plus confiance face à une gestion cavalière et peu transparente, et c’est encore une fois à l’Etat, aux collectivités territoriales, aux créanciers et aux salariés que l’ont demande des efforts. …
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