A Brest, l’abstention a sa part de responsabilité

Le premier constat de ce premier tour des élections municipales à Brest, c’est le maintien, et même la progression d’un taux d’absentéisme inquiétant.

Ce phénomène brestois dépasse les résultats nationaux et montre qu’aucune liste n’a été en mesure de donner envie, pleinement, aux citoyens de se mobiliser.

Pourtant l’enjeu est de taille, notamment pour l’écologie politique. Nos participations aux équipes plurielles de Pierre Maille, mais surtout de François Cuillandre, nous permettent de porter, dans nos délégations, de nombreux projets propres à l’écologie politique : santé environnementale, numérique, participation des habitants, mise en route d’une politique vélo, mise en place du tramway… tout en restant libres de notre parole au sein du conseil municipal sur tous les sujets, y compris ceux qui divisent parfois la majorité de gauche : le Restic, le centre de formation du Stade Brestois…

Cette liberté de parole et d’action n’est pas commune dans les équipes municipales, et François Cuillandre se montre particulièrement respectueux de nos divergences lorsqu’elles existent et se montre également un soutien réel à nos expérimentations, et aux valeurs de l’innovation sociale que nous portons.

Nous sommes inquiets devant la montée du populisme et de la démagogie, représentés  à Brest à la fois par le FN et par Mme Malgorn. Mensonges, rumeurs, agressivité, stigmatisation de quartiers et de certains habitants : la méthode Sarkozy a fait des émules à Brest, et ce n’est pas un service rendu à la démocratie.


C’est pourquoi nous appelons l’ensemble des brestoises et des brestois à se mobiliser le 30 mars prochain pour soutenir la seule liste qui défendra les valeurs républicaines, qui permettra de développer des projets progressistes et écologistes au cours des six prochaines années, la liste « Ensemble pour Brest, tenons le cap », conduite par François Cuillandre.

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