1. « Le Monde » sur l’environnement : pourquoi tant d’acharnement et d’approximations ?

    Dans son édition datée du dimanche 8 et du lundi 9 avril, le journal Le Monde a mis au banc d’essai environnemental les candidats à l’élection présidentielle. Avec une conclusion en première page : « Eva Joly ne sort pas la mieux placée ». La candidate des écologistes, classée meilleure candidate sur l’énergie par Greenpeace ou sur la biodiversité par la ligue ROC, réagit : …

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  2. Nord-Sud, la responsabilité sociale et environnementale des entreprises

    Parmi les 100 entités les plus riches dans le monde, 70 sont des multinationales. Dans le cadre du jeudi de l’Ecologie du 28 avril 2011 sur les rapports Nord-Sud, William Bourdon, de l’association \ »Sherpa\ » fustige l’irresponsabilité juridique des multinationales et la financiarisation économique court-termiste, incompatible avec la responsabilité sociale des entreprises (RSE). Il critique les fausses pistes préconisée par le tribunal international pour juger les entreprises et propose de subsituer aux Softs Laws (lois douces), des Hards Laws (lois dures) : de véritables mesures contraignantes. Pour finir, Sandra Cossart présente l’association \ »Sherpa\ » et enfonce le clou en demandant une responsabilisation financières des sociétés mères par rapport aux filiales ; une obligation de rendre compte (reporting) et demande l’accès à la justice des pays tiers qui n’ont pas accès aux juridictions européennes. …

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  3. Pour notre environnement, nos nappes phréatiques, notre sante : Exigeons le déstockage de Stocamine

    Communiqué du 19 mai 2011 Depuis 1999, 44 000 tonnes de déchets ultimes ont été enfouis à 600 mètres sous terre par la société Stocamine, sous le puits Joseph-Else, dans des galeries laissées libres par l’arrêt de l’exploitation des mines de potasse. Depuis 1999, de ce fait, les nappes phréatiques d’une zone allant de Bâle à Mayence et desservant 7 millions de personnes courent un danger de pollution susceptible de nuire à leur alimentation en eau potable. Depuis 1999, par conséquent, les habitants du bassin potassique et de la région mulhousienne sont exposés à des risques environnementaux majeurs.En effet, la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement a déterminé, en avril 2010, trois risques avérés de pollution de la nappe alluviale : ennoyage des galeries entraînant une remontée de l’eau polluée ; détérioration des fûts de conditionnement des déchets rendant inévitable un mélange de leur contenu à l’eau ; effondrement de galeries.Souvenons-nous qu’en 2002, déjà, l’auto-combustion de déchets instables sur le site d’enfouissement avait provoqué un incendie, entraînant une émission de 12 000 m3 de fumées toxiques pendant 6 semaines et causant aux personnels exposés des troubles respiratoires et cutanés.Alors que la commission associant Etat, Stocamine, élus locaux, associations et syndicats doit rendre son avis sur l’évolution du dossier le mois prochain, EELV se prononce en faveur du déstockage de ces déchets. C’est la seule solution susceptible de préserver la nappe phréatique et l’alimentation en eau potable et d’éviter une catastrophe environnementale d’ampleur.En toute logique, nous soutenons l’action du collectif Destocamine et appelons à signer sa pétition sur www.destocamine.fr ainsi qu’à participer nombreux à la Manifestation samedi 21 mai à 14hA Wittelsheim (rendez-vous devant la salle Grassegert, route de Reiningue) …

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  4. Nord-Sud, la responsabilité sociale et environnementale des entreprises

    Parmi les 100 entités les plus riches dans le monde, 70 sont des multinationales. Dans le cadre du jeudi de l’Ecologie du 28 avril 2011 sur les rapports Nord-Sud, William Bourdon, de l’association \ »Sherpa\ » fustige l’irresponsabilité juridique des multinationales et la financiarisation économique court-termiste, incompatible avec la responsabilité sociale des entreprises (RSE). Il critique les fausses pistes préconisée par le tribunal international pour juger les entreprises et propose de subsituer aux Softs Laws (lois douces), des Hards Laws (lois dures) : de véritables mesures contraignantes. Pour finir, Sandra Cossart présente l’association \ »Sherpa\ » et enfonce le clou en demandant une responsabilisation financières des sociétés mères par rapport aux filiales ; une obligation de rendre compte (reporting) et demande l’accès à la justice des pays tiers qui n’ont pas accès aux juridictions européennes. …

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  5. Loi biodiversité : des avancées mais qui ne répondent pas à l’urgence des enjeux

    Débattue dans la foulée de la COP21 et de l’accord de Paris, la loi biodiversité était attendue comme une grande évolution de la mandature, de celles capables de prouver que l’OCDE avait tort d’accuser la France de ne pas assumer son rôle dans la lutte pour la protection de la planète. Si des avancées sont notables, force est de constater que le texte est loin d’être à la hauteur des enjeux. …

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  6. Loup : dépasser les antagonismes

    Depuis son retour en 1992, le loup est un sujet sensible et polémique. L’augmentation de sa population, de son territoire et du nombre de ses victimes alimente une controverse qui s’intensifie d’année en année. Les positions semblent inconciliables entre les associations environnementales d’une part, et les éleveurs et les bergers d’autre part, d’autant plus que le débat est instrumentalisé par certains à des fins politiciennes. …

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  7. Pour un soutien à la mobilisation contre le projet de Notre Dame des Landes et pour une parole forte sur les grands projets inutiles

    Exposé des motifs De plus en plus de territoires français se voit imposer de grands projets inutiles en cours ou en voie d’élaboration. Ils sont initiés par de grands groupes privés, confortés par des élu-e-s et hauts fonctionnaires issus des partis productivistes qui imposent l’essentiel des décisions prises dans notre pays. …

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  8. Non au CDG Express, Oui à la qualité de transports en Ile de France

    Exposé des motifs Serpent de mer des grands projets inutiles franciliens, l’Etat ambitionne de réaliser le CDG Express, une ligne ferroviaire reliant directement l’Aéroport de Roissy Charles de Gaulle et la gare de l’Est. De son coût faramineux (1,7 milliard d’euros, soit l’équivalent 130 euros par francilien) au prix de vente du billet (l’aller à 24 euros), en passant par son inutilité (la ligne 17 du Grand Paris le remplacerait avantageusement) ou sa nocivité (nuisances sonores, visuelles, impact sur la qualité de service du RER B), les arguments ne manquent pas. …

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  9. EELV s’oppose au contournement Est de Rouen, liaison A28 – A13

    Exposé des motifs Depuis le développement exponentiel du transport routier dans la seconde moitié du 20ème siècle, les grandes agglomérations ont répondu au problème récurrent de congestion du trafic avec une solution : la création de rocades et de contournement. Et cela, sans jamais réussir pour autant à diminuer les bouchons ni les temps des transports entre la ville et sa banlieue. Cette solution utilisée à tire larigot est pourtant décriée depuis longtemps par les écologistes du fait de sa très faible utilité et de ses coûts financiers élevés pour l’installation et son fonctionnement. Enfin, les impacts environnementaux sont multiples et désastreux : pollutions atmosphérique, pollution sonore et visuelle, destructions de terres agricoles et d’espaces naturels, dégradation du cadre de vie, expropriation, … …

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