Europe Ecologie - Les Verts Conseil Régional Auvergne

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Tag - Gustave Alirol

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vendredi 1 novembre 2013

Journée d'échanges sur la langue et la culture occitanes : Mardi 19 novembre à Clermont-Fd

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jeudi 3 octobre 2013

Une exposition itinérante pour faire découvrir la langue et la culture occitane

Comme le breton ou l'alsacien, l'occitan est une langue en voie de disparition. Si les auvergnats sont majoritairement favorables à la sauvegarde de leur langue régionale, il existe pour l'instant en Auvergne peu de structures pour la faire découvrir aux nouvelles générations et l'enseigner. A ce jour, deux calandretas existent à Aurillac et au Puy-en-Velay. Au niveau régional, c'est dans le Cantal que la pratique de la langue est encore la plus répandue. Mais le Conseil Régional d'Auvergne, qui co-finance l'exposition est favorable à la création de classes en occitan, notamment à Clermont-Ferrand. Les choses pourraient donc peut-être bouger d'ici quelques années.

L'exposition "Paroles de pays", proposée par l'Institut d'études occitanes d'Auvergne, s'attache à donner les résultats d'une enquête réalisée par l'IFOP en 2006 auprès de la population auvergnate. On y apprend par exemple que 54% des auvergnats espèrent une présence de l'occitan sur France 3 Auvergne. Enfin, l'exposition propose de découvrir le "parler occitan" à travers des dialogues type bande-dessinée, mais aussi l'origine des noms de familles.

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Pour voir la vidéo, cliquer ici

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mardi 4 juin 2013

Clermont-Ferrand : une demi-journée consacrée aux langues régionales et aux politiques territoriales


Sur invitation de Gustave Alirol, conseiller régional d’Auvergne, en charge de l’évaluation de la politique linguistique et culturelle en faveur de l’Occitan, le député Paul Molac et l’eurodéputé François Alfonsi étaient présents lundi 27 mai à Clermont-Ferrand pour une demi-journée de rencontre consacrée aux langues régionales et aux politiques des territoires.

Etat des lieux des politiques du Conseil Régional d’Auvergne en faveur des langues régionales et de l’Occitan, actions législatives en manque d’ambition, dont l’acte III de la décentralisation est l’exemple le plus éloquent, renoncement de François Hollande à faire ratifier la Charte Européenne des langues régionales et minoritaires (engagement n°56 du programme présidentiel), politiques structurelles européennes, etc. sont autant de thèmes qui furent abordés au cours de cette journée, au terme de laquelle les élus ont donné une conférence de presse, en présence de Christian Bouchardy et Pierre Pommarel.

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vendredi 26 avril 2013

Des défenseurs des langues régionales dénoncent le "mépris" du pouvoir

Le pou­voir poli­tique actuel cultive le "mépris" à l’égard des langues régio­nales, ont estimé mer­credi plu­sieurs défen­seurs de ces langues, qui déplorent que la France n’ait pas rati­fié la Charte euro­péenne des langues régio­nales et minoritaires. "On peut par­ler d’un mépris" sur cette ques­tion des langues régio­nales "de la part du pou­voir poli­tique", a déclaré Gustave Alirol, Conseiller régio­nal d’Auvergne et pré­sident de "Régions et peuples soli­daires", qui se pré­sente comme une "fédé­ra­tion de par­tis poli­tiques régio­na­listes et auto­no­mistes progressistes". Le texte sur la refon­da­tion de l’école et l’acte III de la décen­tra­li­sa­tion, qui sera sou­mis pro­chai­ne­ment à l’examen des par­le­men­taires, sont par exemple deux textes "qui traitent par des­sus la jambe la ques­tion des langues régio­nales", a-t-il sou­li­gné lors d’une confé­rence de presse.

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Gustave Alirol a énuméré trois "exi­gences" pour défendre les langues régio­nales françaises.

"Nous conti­nuons à récla­mer, a-t-il dit, une révi­sion de la Constitution (...) indis­pen­sable si on veut don­ner un véri­table sta­tut à nos langues régio­nales, indé­pen­dam­ment de la rati­ti­ca­tion de la Charte" euro­péenne des langues régio­nales et minoritaires.

La "deuxième exi­gence" porte sur "la prise en compte sérieuse des langues régio­nales" dans les textes sur la refon­da­tion de l’école et l’acte III de la décentralisation.

Gustave Alirol a enfin réclamé la "mise sur pied (légis­la­tive) d’un cadre sta­tu­taire pour les langues régionales".

Le député euro­péen écolo­giste François Alfonsi a estimé pour sa part que le gou­ver­ne­ment devait "impé­ra­ti­ve­ment, quand il fera une révi­sion consti­tu­tion­nelle (...), inclure (...) des dis­po­si­tions qui relancent la ques­tion des langues régio­nales en France".

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mercredi 3 avril 2013

7 avril : l’Alsace, un espoir pour tous les territoires ?

A l’heure où « l’acte III de la décentralisation » semble très mal parti pour tenir ses promesses, en tout cas pour répondre aux espérances des territoires en apportant une des clefs de sortie de la crise économique et politique, le référendum prévu en Alsace le 7 avril prochain ouvre, lui, un espoir véritable pour les Alsaciens en même temps qu’il représente pour les autres Régions une approche dont elles feraient bien de s’inspirer.

Initiée en commun par les trois collectivités alsaciennes (la région Alsace et les deux départements du Bas Rhin et du Haut Rhin), une innovation fondamentale va être soumise à la consultation des électeurs (sur la base de l’article L 4124-1 du code général des collectivités territoriales) : la fusion des trois collectivités en une collectivité territoriale unique, la Collectivité Territoriale d’Alsace, exerçant les compétences respectives des entités fusionnées. L’innovation est de taille sur le territoire métropolitain : même en Corse, le statut spécial de la Collectivité territoriale a dû se combiner avec le maintien des départements.

L’objectif est clair : mutualiser les moyens, réduire la complexité et les risques de chevauchement des compétences et de la sorte donner plus de poids et d’efficacité à l’action de l’ensemble des élus alsaciens.

Avec une diminution prévue de 10 à 20 % du nombre total d’élus, il y fallait d’abord du courage politique. Il fallait aussi et surtout une claire vision politique des besoins du territoire et de la manière d’y répondre institutionnellement.

Les élus d’Alsace en ont fait preuve pour imaginer le mode de scrutin des futurs conseillers territoriaux avec un couplage équilibré du scrutin majoritaire garantissant la représentation des territoires sur une base cantonale et du scrutin proportionnel assurant au plan régional la représentation des courants politiques et la parité.

La nouvelle architecture institutionnelle traduit elle aussi la préoccupation d’équilibre territorial avec la distinction entre le pouvoir délibératif conféré à l’Assemblée d’Alsace siégeant à Strasbourg et le pouvoir exécutif confié au Conseil exécutif d’Alsace établi à Colmar.

Manifestement, il s’agit là d’un projet qui, s’il est accepté par la population alsacienne, paraît en mesure de répondre, autrement que sur le mode politicien, à la lancinante question du « millefeuilles » territorial et de la suppression d’un échelon d’administration, ici le département, tout en permettant une représentation équilibrée des territoires (en laissant de côté la mise en place d’une « métropole » strasbourgeoise).

La vision politique n’a pas manqué aux concepteurs du projet : ils prévoient pour la nouvelle collectivité des moyens et des compétences élargis, y compris une « capacité règlementaire » afin d’adapter l’action publique, au sein de la République, aux spécificités alsaciennes, avec, en prime, le recours possible à « l’expérimentation ». Vision et clarté encore, afin de « créer des dynamiques renforcées », du point de vue des compétences envisagées, parmi lesquelles on peut noter, outre la coopération transfrontalière, l’économie et l’innovation, le logement et l’habitat ...la langue et la culture régionales !

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mardi 26 mars 2013

Charte des langues régionales : Bretons et occitans se mobilisent

La décision de François Hollande de ne pas ratifier la Charte des langues régionales ou minoritaires (mesure n°56 de son programme présidentiel) a provoqué une onde de choc chez les militants culturels et linguistiques bretons, basques et occitans.

Gustave Alirol déplore ce recul politique sur Corse Net Infos :

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Cliquer ici pour voir la vidéo :

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jeudi 20 décembre 2012

Session des 17, 18 et 19 décembre 2012 - Discours de Nicole Rouaire

Monsieur le Président, chers collègues

La période actuelle est fortement marquée par les crises auxquelles nous devons faire face ; crises économique et financière bien sûr mais aussi crises environnementale, sociétale et sociale. Les difficultés financières de nos sociétés amènent trop souvent des décisions très négatives dans les domaines de l’environnement ou du social entre autres, dans celui de la culture également.

Dans ces périodes d’extrêmes difficultés, où le mot d’ordre est d’éliminer des dépenses jugées superflues, la tentation est grande de « tailler » dans des budgets considérés au mieux comme des enjeux post matérialistes, au pire comme des luxes.

Ce n’est pas notre choix pour le budget 2013 dédié à la Culture et au Patrimoine. Notre majorité a en effet souhaité que la culture reste inscrite dans nos interventions et ne subisse que très légèrement les fortes contraintes budgétaires. Ce choix marque ainsi très clairement l’importance, la perception, et l’intérêt que porte la Région à l’égard de la culture et du patrimoine.

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mercredi 7 novembre 2012

Gustave Alirol présente son rapport relatif à la politique de la Région en faveur de l'Occitan

En janvier 2011, R. Souchon confiait une mission à Gustave afin de conduire « l 'évaluation, l'expertise, et l'analyse des actions menées par la Région Auvergne et par le TRANSFO en matière de politique linguistique et culturelle en faveur de l'occitan pour aboutir à des propositions visant à améliorer le dispositif régional existant ».

Rappelons que l'occitan concerne plus des ¾ de l'Auvergne (sud de l'Allier, Puy-de-Dôme, Haute-Loire et Cantal), et qu'en France, son aire linguistique comprend environ le tiers sud du territoire.

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mercredi 23 mai 2012

Agendas et sites web de vos candidats EELV aux législatives

Retrouvez la carte de toutes les circonscriptions : Du Puy-de-Dôme - De l'Allier - Du Cantal - De Haute-Loire

Retrouvez le site web et l'agenda de chaque candidat EELV aux législatives

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mardi 27 mars 2012

Anem oc ! Per la lenga occitana ! Communiqué des Conseillers régionaux EELV Midi-Pyrénées, Aquitaine et Auvergne

Manifestons le 31 Mars pour la défense des langues régionales !

Les Conseillers régionaux EELV des régions Midi-Pyrénées, Aquitaine et Auvergne seront massivement présents à la manifestation « Anem oc ! Per la lenga occitana ! » pour défendre les langues régionales. Ils appellent tous les citoyens à répondre présents le samedi 30 mars à 13 h 00 Place de l’Europe !

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mardi 1 mars 2011

Lettre des élus, Février 2011

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lundi 31 janvier 2011

Fatima Bezli et Gustave Alirol, missionnés par le Président

Ces derniers jours, deux élus du Groupe Europe Ecologie Les Verts ont reçu de la part du Président de région une lettre de mission respectivement sur :

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Gustave Alirol

Mission d'évaluation, d'expertise et d'analyse des actions menées par la Région Auvergne et le Transfo en matière de politique linguistique et culturelle en faveur de l'occitan

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Fatima Bezli

Mission d'évaluation, d'expertise et d'analyse des actions menées par la Région Auvergne et par les antennes régionales en matière de prévention et de lutte contre les discriminations et les exclusions

Fatima et Gustave devront faire des propositions au Président d'ici à l'été.

vendredi 29 octobre 2010

Lettre des élus, Octobre 2010

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jeudi 21 octobre 2010

Réforme territoriale : les régions seront les grandes perdantes

Le projet de 'réforme territoriale' arrive en phase finale d’adoption parlementaire, après bien des péripéties qui ont montré que, même dans la majorité, il suscite des réticences. Mais Sarkozy y tient : question pour lui d’affichage politique et d’intérêt politicien.

Pour Gustave Alirol, conseiller régional et président du Partit Occitan, "à bien des égards, il serait pourtant difficile de faire pire réforme sur le sujet, tant les objectifs affichés (démocratie, simplification, modernisation / adaptation) sont pour la plupart dévoyés".
D'autant, qu'au passage, "la promotion des métropoles (avatar poussiéreux de la pensée économique des années 60) signera l’abandon de toute politique des solidarité entre les territoires".
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mardi 1 juin 2010

Commission Permanente du 31 mai 2010

Agriculture Biologique, OGM, énergie renouvelable, économie sociale et solidaire : la dernière CP a permis de faire avancer quelques dossiers emblématiques ... et de voir bouger quelques lignes parmi les groupes politiques.

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