Valorisons les spécificités de nos territoires !

Des territoires et villes de la nouvelle région ont des atouts majeurs liés à des traditions et des savoir-faire particuliers, qui participent de leur identité.

Ces territoires et ces villes doivent s’appuyer sur ces spécificités dans la logique d’une économie de la qualité.

C’est le cas par exemple de la filière textile qui relie Nîmes à Millau en passant par les Cévennes et Le Vigan.

C’est aussi le cas du Piscénois, où la tradition agricole et alimentaire est encore présente.

Veillons à préserver ces richesses et à construire dessus en développant des formations associées et en rassemblant les acteurs dans une démarche de dynamisation des filières.

Une réponse à “Valorisons les spécificités de nos territoires !”

  1. adiu

    Pour pérenniser et valoriser ces filières, il nous faut des outils qui fassent de la région la source de l’activité économique , il nous faut créer un outil de financement propre à la région ; un établissement financier régionalisé associant les collectivités locales et dédié eu financement des PME et des entreprises intermédiaires
    Mettre en place des pôles publics de l’industrie à l échelle territoriale pour mettre en réseau les activités économiques , optimiser le coût des produits en harmonisant les échanges et favorisant les circuits courts et tenter ainsi de reterritorialiser les activités industrielles ; ce qui répond actuellement à une tendance de l’activité économique.
    Dans le cadre d’une Europe des régions , dynamiser les échanges entre celles-ci , qu’elles soient à la source des réalisations économiques
    Enfin , différencier suffisamment les produits réalisés pour en faire valoir leur qualité et leur identité (labels etc ).

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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