Pour lutter contre le dérèglement climatique, se préparer à la fin de l’utilisation du pétrole, valorisons la traction animale dans les exploitations agricoles et forestières.
De plus cela économisera la réalisation de pistes dans les montagnes, fournira du travail non délocalisable et un débouché à l’élevage des chevaux.
complètement d’accord !
Il y a aussi la piste des huiles végétales (colza, lin…) que les agriculteurs peuvent cultiver eux-mêmes et dont les résidus pression sont un complément alimentaire pour le bétail qui remplace avantageusement le soja OGM importé d’Amérique du sud !
bien d’accord, j’avais prévu une participation sur la nécessaire réhabilitation de la traction animale, donc je complète ici : il faut expérimenter, y compris dans des communes péri-urbaines où des animaux peuvent être employés pour l’entretien des espaces verts, la collecte des déchets, certains chantiers, des promenades enfants – seniors, etc… ce qui entraine réduction des GES, emploi local, convivialité, retour de races anciennes de chevaux ou ânes de trait, associé à l’innovation pour avoir des machines moins lourdes et plus efficaces et aux notions de bien-être animal.
Il existe en Ariège une association : PROMATA, qui fait un excellent travail pour mettre au point du matériel moderne pour la traction animale. La future majorité de la Région, qui espérons sera écologique et au service des hommes et des territoires, devra les accompagner dans leur démarche exemplaire. On peut trouver facilement le site de PROMATA sur un moteur de recherche.