Revenu de base

Mise en place d’un revenu de base financer par un impôt masqué et la mutualisation des aides sociales entre autre, permettant d’éradiquer la pauvreté. Nécessaire car aujourd’hui le plein emploi n’est plus possible à cause du remplacement de l’homme par la machine et l’informatique, mais qu’il faut bien faire vivre tout le monde avec un niveau de vie descent.

4 réponses à “Revenu de base”

  1. Le salariat à vie est bien plus intéressant.
    http://www.reseau-salariat.info.

    Le droit à la paresse de Paul Lafarge paru en 1880 explique que nous pourrions travailler seulement 3h par jour (21h par semaine donc) pour subvenir chacun à nos besoins. Avec le progrès de la technique en 150 ans, le nombre d’heure travaillé passerait lui à 2h maximum par jour. On est loin d’une économie productivisme pour reprendre le terme du précèdent commentaire.

  2. Je soutiens entièrement l’initiative de la mise en place de ce Revenu de Base nécessaire à l’équilibre de notre société et qui doit s’inscrire comme un droit civique pour le bien être de l’être humain qui retrouve enfin sa place et sa dignité dans ce monde construit sur des bases marchandes.

  3. Bien d’accord.
    Pour la présentation, il faudra sûrement regrouper les propositions similaires. Petites corrections orthographiques ici: « financé » et « décent ».

    Pour le salariat à 14h/semaine environ: ça pose la question du temps et du coût du trajet domicile-travail (1h et plus de trajet pour 2h de travail, ça vaut le coup?) et des effets de reprise/arrêt.
    L’avantage par contre de bien répartir est d’éviter l’arrogance de certains. Rappelons qu’aux élections, la voix de chaque électeur a la même valeur et c’est tant mieux.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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