Reconversion des ingénieurs licenciés par Airbus vers les énergies renouvelables

C’est un secret de polichinelle. AIRBUS licencie et se sépare de plus de 5000 ingénieurs travaillant dans les bureaux d’études. Certains sont réaffectés dans la production. En effet, les carnets de commandes sont bien fournis mais il n’y a plus de nouveaux projets. Nous assistons à une perte considérable de nombreuses compétences. Des cerveaux ingénieux qui ont été capables d’inventer une multitude de systèmes techniques souvent repris par les concurrents de par le monde.

De l’aéronautique aux énergies renouvelables la distance peut être courte. Les similitudes entre les hélices d’avion et une éolienne sont bien connues. De nouveaux systèmes peuvent être inventer.

Proposons un large partenariat Europe et Régions pour que tous ces ingénieurs de talents investissent les énergies renouvelables dont nous avons tant besoin.

Une réponse à “Reconversion des ingénieurs licenciés par Airbus vers les énergies renouvelables”

  1. D’abord à peu près plus aucun ingénieur de l’aéronautique ne sait quoique ce soit sur les hélices d’avion. Les pales de moteur à réaction : oui.
    Si Airbus mute vers la production (à vérifier !) et/ou licencie ou se sépare de ses cadres de RD c’est parce qu’elle préfère rémunérer le capital à investir dans la recherche : cela s’appelle le cout du capital !
    Il y a encore beaucoup à faire dans la RD aéronautique pour l’avion du futur.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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