Provenance des produits alimentaires ou manufacturés

1) Rendre obligatoire l’inscription de la provenance et lieu de fabrication de tout produit alimentaire ou manufacturé … conserve, poisson : lieu de pêche… on ne sait plus d’où viennent notre nourriture, nos vêtements, notre PQ… pour favoriser le local au profit du mondial, il faut savoir d’où vient ce que nous consommons !

 

2) Interdire la vente de tous les petits objets non conformes. par exemple sur les fêtes foraines tous les lots sont vraiment pourris : poupée sans cheveux, montres qui ne marche pas … mais toutes ces choses d’une qualité médiocre on un coût pour l’environnement ! si tôt achetés, si tôt jetés, ils ont fait des millions de kilomètre pour finir à la poubelle !!!!

 

3) Surtaxer les produits venant de pays qui ne respecte pas la législation du travail, et reversé le fruit de ces taxes à c’est même pays afin qu’ils améliore la condition du travaille chez eux …( retraite, chômage, assurance , sécurité…) c’est idée concerne l’Europe, si elle voulait vraiment protéger ses concitoyens et améliorer la vie du monde entier c’est ce qu’elle voterait …

2 réponses à “Provenance des produits alimentaires ou manufacturés”

  1. bonsoir
    tout à fait d’accord avec tout çà,…..mais je ne sais pas si la région peut agir là dessus….il me semble que celà se décide plus « haut ».. au niveau national et même européen…
    peut on au niveau de la région agir au delà des décisions nationales ou européennes ??

  2. Pour rassurer l’auteur de la question, il existe de ci de là des initiatives de traçabilité et de manger local. (sauf le PQ !!)
    Il existe un petit village d’irréductibles qui résiste à cet envahisseur, et qui a mis au point en partenariat avec des chercheurs et des exposants de notre marché circuits courts un système de pique prix (étiquettes) innovant qui a abouti récemment au dépôt d’une marque à l’INPI, cette marque est « iciClocal »

    Ces étiquettes avec une signalétique en trois couleurs ont été mises en place en 2010 sur le marché du village et indiquent donc le nom du producteur.Si l’étiquette est avec un liseré vert, c’est que le producteur est devant vous, si le liseré est orange, c’est qu’il provient d’un producteur dont l’exposant se porte garant, et si le liseré est violet, c’est qu’il fait partie des exceptions au circuit court, mais que le produit répond à des critères de saisonnalité, environnementaux et humains très précis.
    Plus récemment ont été mises au point des étiquettes en deux parties et reprenant le système et l’étendant aux produits transformés vendus sur le marché.
    L’admission sur le marché est subordonnée à l’avis d’un comité de pilotage (composé de représentants élus des exposants, de représentant des consommateurs, de représentants de l’administration communale et de l’élu en charge du marché). et de la signature obligatoire d’une charte très précise qui engage l’exposant dans notre démarche.
    Notre marché a eu les honneurs de la presse nationale à plusieurs reprises, et récemment d’un reportage télévisé.
    Tous les détails sur le lien ci dessous :
    http://www.ville-grabels.fr/1622-marches-circuits-court.htm

    Il faut de plus préciser que la commune est engagée dans un projet d’aide à l’installation de jeunes agriculteurs pour qui le marché pourra représenter une aide à débuter

    Voilà, reste plus qu’a étendre cette initiative, et notre équipe est disponible pour vous conseiller.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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