Une réelle politique alternative doit considérer l’argent public dans la politique culturelle non comme un supplément d’âme, un coût inutile, une variable d’ajustement, mais tout au contraire comme un INVESTISSEMENT NÉCESSAIRE au service la cohésion sociale, de l’économie des territoires, de l’épanouissement individuel et collectif.
Cela, pour devenir réalité, doit amener à modifier les règles de la comptabilité publique comme de la comptabilité des associations et autres organismes culturels.
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