La région gérant la formation continue, gère aussi les formations paramédicales. Un cout élevé est lié à l’abandon de leur formation par les étudiant-e-s infirmier-e-s, ainsi qu’à l’abandon de leur métier par les soignant-e-s, peu de temps après le début de leur entrée dans la vie professionnelle.
La région veillera à ce que le tutorat des étudiant-e-s en soins infirmiers par les soignants en exercice puisse être réellement assuré par un temps disponible dégagé pour chaque tuteur.
Le besoin d’aides-soignant-e-s pour les soins aux personnes dépendantes, en établissements ou au domicile, est en constante augmentation. Ce travail est souvent confié à des personnes non qualifiées auxquelles la formation continue est refusée pour des raisons budgétaires. La prise en charge de ces formations, avec rémunération, sera une priorité, en formation continue et en formation initiale pour un accès à un nouveau métier.
Le soutien psychologique aux étudiant-e-s des métiers de santé ne peut être négligé. Des temps de parole pour qu’ils puissent exprimer leurs difficultés émotionnelles, face aux patient-e-s dans un état grave ou en fin de vie, doivent être dégagés.
Bonjour je suis exactement dans cette situation à qui je pourrais demander quels types de démarches effectuer pour continuer mon évolution professionnelle. Je suis a temps partiel depuis 6 ans il y a des formations dans mon secteur mais il n’y a pas les budjets je gagne 697 euros seule avec 3 enfants à charge je travaille 21h/Sem je rêve d’avoir un salaire qui me permette d’élever dignement mes enfants je suis pourtant sur une grille d’ouvrier qualifié dans le médico sociale toute aide est la bienvenue.