Clés pour le premier tour

3 clés pour passer en tête à gauche au premier tour :

Une équipe citoyenne à plein temps pour la région sur un projet novateur, écologiste, démocratique
Nos candidats devront affronter, en plus de la droite plutôt déconfite en LR et guère plus vaillante en MP et de l’extrême droite solide mais sans doute stabilisée, deux listes à gauche : Celle de l’union PS/PRG et celle –très probablement- de Saurel.

 

La première est le résultat des vielles combinaisons d’appareils qui vont jusqu’à nécessiter de nouvelles mesures législatives pour donner une place (Président délégué) à D. Alary pour lui éviter de perdre la face. Un compromis usé pour attribuer des places et qui renforce le dégout des électeurs pour la politique, triste bonheur du FN.

La deuxième serait créée soi disant ex nihilo (mais qui pourrait récupérer quelques ambitieux isolés, comme Cavard dans le Gard) pour servir les intérêts et la passion maladive pour le combat électoral du premier cumulard (et du plus rapide) du LR. Mais, attention, le positionnement « recours alternatif hors des partis » d’un homme « neuf »peut encore plaire.

Contrer ces deux listes implique trois actions :

  • éviter de tomber comme le PS/PRG dans le ramassis d’intérêts partisans : pour montrer que EELV+PG+PC+Ensemble+…est un rassemblement, mettre en bonne position sur un maximum de listes, des personnalités de la société civile, des citoyens hors parti qui s’engagent sur le projet.
  • Rapidement boucler les listes en évitant autant que possible les débats sur les places et en rejetant les cumuls. Pour contrer Saurel*, insister sur la solidarité entre nos listes et nos candidats, sur la constitution d’équipes, sur l’inclusion de celles ci dans la société, le monde associatif…
  • Faire apparaître la détermination de chaque candidat à s’investir à plein temps pour la région
    (*C’est dans l’Hérault que Saurel peut faire son meilleur score et nous prendre le plus de voix. Il est donc essentiel, compte tenu de la force locale et départementale de EELV ici, que la tête de liste soit EELV, épaulée par une équipe « puissante » et prête à en « découdre ».)

 

Mais pour contrer au mieux les deux, c’est le projet ! L’établissement rapide d’un projet cohérent, ambitieux mais pertinent et réaliste, donnant une nouvelle chance à la démocratie régionale (référendum par exemple) et sa présentation au travers de rencontres, de communiqués, de documents, sérieux, efficaces, simples sont des éléments essentiels pour notre réussite.
C’est aussi notre projet qui disqualifiera le plus fortement les velléités frontistes.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

Je soutiens l'initiative

Mon prénom 

Mon nom

Je peux préciser qui je suis

Mon email

La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par