Autopartage

Les déplacements individuels nécessitent l’usage de sa voiture personnelle, des transports en commun des taxis ou l’aide d’amis…
La disponibilité des moyens de déplacements ne sont pas toujours là pour des problèmes d’horaires (horaires de transports scolaires), de moyens financiers (coût d’une voiture, du taxi), de choix personnels (pas de nécessité d’avoir un moyen de déplacement permanent qui serait peu utilisé)…

L’auto-partage est une possibilité qui, donné par la collectivité, permet de mettre à disposition des habitants de la ville, ou sur un lieu de rassemblement, un véhicule pour les déplacements ponctuels que nécessite le quotidien de nos concitoyens.
L’auto-partage peut être vu comme le déclencheur d’une mobilité alternative à la voiture particulière.
La voiture électrique peut-être une alternative aux déplacements de proximité, à condition bien-sûr de compenser les consommations électriques avec des énergies renouvelables.

http://www.villesequelande.com/?page=12&article=97

2 réponses à “Autopartage”

  1. Bonjour
    Ce système peut certainement intéresser des personnes d’horizons divers avec des besoins différents mais aussi avec les mêmes besoins. Pour certains, il est indispensable d’être sûr-es de la disponibilité du véhicule au bon moment. Peut-être qu’un système d’inscription et/ou de réservation devrait être mis en place (un peu comme pour les paniers des Amap finalement) ?

  2. L’autopartage doit aussi être développé dans les zones rurales. La Région pourrait aider les communautés de communes qui veulent porter des projets dans ce sens.
    L’autopartage entre particuliers peut aussi être encouragé.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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