Martine Petit

 A travers ma candidature aux côtés des femmes et des hommes de la liste « Choisir l’écologie pour Kemper et son agglomération » je veux porter la nécessité d’agir pour l’avenir, tant attendue par la jeunesse et par une population de plus en plus concernée par les enjeux sociaux et climatiques planétaires et locaux. C’est la prolongation de mes engagements altermondialistes et écologistes. 

J’ai franchis le pas d’un premier mandat à Quimper en 2008. Ma délégation à la vie démocratique m’a permis d’ouvrir la vie municipale aux habitants dans les conseils de quartier et d’étudier dans ce cadre les dossiers du mandat en associant habitants-élus-fonctionnaires dans le processus de décision. Mission compliquée car le partage du pouvoir n’était pas dans la culture des élus de la majorité de Bernard Poignant, mais mes convictions se sont renforcées grâce à cette expérience.

J’ai pu acquérir une réelle connaissance du fonctionnement de la collectivité et des compétences dans l’étude des projets. Je sais que les politiques locales sont déterminantes pour évoluer vers une société plus humaniste et plus écologiste.

En 2015, lors de la Cop 21, l’urgence climatique s’est imposée dans l’opinion publique. Avec un groupe d’écologistes, nous montrons les solutions des acteurs de notre territoire par l’événement Alternatiba puis par des forums sociaux sur l’agriculture, la transition, les migrants et nous organisons les marches pour le climat.

Aujourd’hui, je suis résolument engagée car l’heure n’est plus aux détournements, ni aux hésitations. Il faut se donner les moyens d’agir fort et bien. Nous n’avons que dix ans pour prendre la bonne direction, les scientifiques nous le disent régulièrement. Les décisions importantes doivent être prises. Elles exigent de la constance, de la cohérence, de la solidité.

C’est aussi le moment pour Quimper. C’est pourquoi, je vous propose de choisir l’écologie, ce n’est pas un risque, c’est une vraie chance pour toutes et tous.