Solidaires à Villeurbanne
Soutien à l’installation et au maintien des commerces de proximité et des services publics Développement des paniers de légumes, livrés à domicile, comme le fait la Ferme des Buers ; Élargissement des trottoirs ; amélioration de la propreté des rues et de l’état des chaussées ; ajout de bancs publics ;
Création de physio-parcs dans les parcs de quartiers pour permettre des activités physiques adaptées aux aînés ; Pour la tranquillité publique, création de postes supplémentaires d’éducateurs de rue et d’animateurs de prévention, mobiles dans les quartiers. Pour faciliter les déplacements des aînés :– permanence téléphonique pour conseiller les seniors dans leurs déplacements ;
– amélioration de la desserte en bus des maisons de retraite (notamment la ligne 69 le dimanche), du quartier de Saint-Jean (ligne 7, le dimanche matin) et du cimetière de Cusset.
Associer, dans le comité consultatif du handicap, professionnels, associations et SESSAD (Service d’Éducation Spéciale et de Soins à Domicile) ; Garantir la scolarisation de tous les enfants en milieu ordinaire, de la maternelle à l’enseignement supérieur, en formant les ATSEMS, les personnels de cantine et d’étude ; Permettre aux enfants et aux adultes en situation de handicap de participer aux activités des structures et associations culturelles, artistiques et sportives ;Poursuivre la mise en accessibilité des espaces et des équipements publics ; Développer la signalétique en braille dans la rue et sonore dans les bus et les services publics… ;Inciter les entreprises à rendre les lieux de travail plus accessibles ; Développer la formation des personnels des services publics.
Soutenir les structures dans le domaine de la solidarité ; Créer une plate-forme du bénévolat : lieu de mutualisation de moyens (téléphone, ordinateurs, documentation...), échanges, formation et reconnaissance des bénévoles, mise en commun de projets ; Renforcer les liens entre professionnels, associations et bénévoles, pour un meilleur accompagnement des usagers.
C’est très important que les enseignants et les personnels de cantine soient formés pour l’accueil des enfants handicapés à l’école. J’aimerais aussi que, en dehors de l’école, des activités artistiques et culturelles leur soient proposées.
Hors de la société de marché qui ne peut nous satisfaire, une autre société s’invente, celle de la mise ‘‘hors marché’’ des biens communs, les oeuvres des musées, les espèces végétales et animales, l’air et l’eau, conditions mêmes d’humanité. Cette société qui s’invente est aussi celle des ‘‘amateurs’’, de celles et ceux qui ‘‘aiment’’ : un goût, une prédilection les portent à servir gratuitement, bénévolement, telle ou telle cause. Cette gratuité, ce don de soi – don du temps, de ressources, de compétences – touche à la dignité de l’homme : inestimable !
J’ai participé à la création d’une association de lutte contre l‘isolement des personnes âgées. L’échange entre générations, c’est une vraie richesse humaine, et le bénévolat, ça fait partie de mon engagement citoyen. Je souhaite qu’avec Béatrice Vessiller, Villeurbanne soutienne le bénévolat.
La création de places en accueil temporaire à un coût abordable, pour des personnes qui sont momentanément dépendantes ; L’organisation des gardes itinérantes de nuit pour aider les personnes à se coucher à l’heure de leur choix et qui viennent plusieurs fois dans la nuit. Elles passeront ainsi des nuits « en confiance » ; L’expérimentation des « baluchonneurs », pour soulager les aidants familiaux auprès de personnes âgées dépendantes. Un professionnel vient s’installer quelques jours au domicile de la personne, évitant ainsi sa perte de repères.
Aide financière aux mutations des locataires âgés, dans leur résidence, pour un logement social plus petit et adapté permettant d’être mieux installé, avec un loyer inférieur ; Développement de l’habitat intergénérationnel partagé dans le logement social ou privé, permettant « le chacun chez soi », ainsi que des moments partagés dans des pièces communes ; Développement des colocations solidaires pour offrir aux jeunes des logements à loyer modéré, en échanges de services aux habitants du quartier ; Soutien à la location de chambres aux jeunes chez les personnes âgées.
Aide à l’installation des jeunes en difficultés dans le premier logement ; Réorientation du dispositif Install’Toit (subvention municipale à l’installation) vers les jeunes ayant des difficultés pour louer leur premier logement ; Développement des colocations « choisies » chez les bailleurs sociaux (jeunes en premier emploi, en insertion, apprentis…).
Faciliter les différentes démarches administratives ;Faciliter la mobilisation des aides d’urgence (aides alimentaires, énergie..), empêcher les coupures de gaz, d’eau ou d’électricité, prévenir les explusions locatives ; Développer l’assistance aux travailleurs immigrés âgés et leurs conjoints par un dispositif spécifique d’écoute, d’amélioration et de suivi des droits à la pension.
L’accès à la santé pour tous
Le soutien aux centres sociaux
Depuis des années, je défends l’accès aux droits des chômeurs, des femmes, des étrangers, le droit au logement, à la protection sociale. Pour ces droits, l’accompagnement social nécessite plus de travailleurs sociaux et de subventions aux associations engagées dans ces domaines.
Il faut créer une maison de santé aux Buers, à St-Jean ou aux Brosses pour l’accès aux soins pour tous les Villeurbannais, regroupant des travailleurs sociaux et des professionnels de santé tels que médecins, infirmières, dentistes, kinés, etc.
Pour les jeunes aujourd’hui, c’est difficile de louer un logement quand on démarre dans la vie active, avec un travail à temps partiel, avec un petit salaire. Il faut nous faire plus confiance !
l’économie et l’insertion
Le développement des services à la personne ; Une filière éco-construction et éco-rénovation pour la rénovation thermique des logements ; La transformation des déchets en ressources : recyclage, réutilisation des objets usagés (des ménages et des entreprises), en lien avec les associations et les deux déchèteries de Villeurbanne ; L’implantation de déchèteries de proximité (pour petits objets) avec points de collecte de vêtements et filière locale de valorisation ; L’agriculture biologique de maraîchage en périphérie de l’agglomération ; Un marché bio à Villeurbanne ; développement des circuits courts (AMAP…) ; promotion des producteurs de proximité en alimentaire (mise à disposition de lieux de distributionaccessibles à tous) ; Le développement de locaux adaptés à l’artisanat ; L’aide à la création d’épiceries sociales et solidaires, en s’appuyant sur les commerces classiques.
Soutien à la création d’espaces collectifs (coworking) et de pépinières d’entreprises pour mutualiser les expériences et les moyens, accompagner la création et la transmission d’entreprises ; Développement du service économique de la ville en intégrant notamment des compétences en économie sociale et solidaire pour soutenir les initiatives coopératives.
Étendre à Villeurbanne le label « Lyon, ville équitable et durable », pour les commerçants, associations et entreprises ; Utilisation de la commande publique pour soutenir l’insertion et l’économie responsable ; Mise en réseau des acteurs de l’emploi, l’insertion, la formation et les entreprises pour une meilleure adéquation entre offre et demande d’emplois et de stages.
Création d’une Maison de l’Emploi et de la Formation, afin de :– mieux coordonner les interventions sur l’emploi, l’insertion et la formation ;
– favoriser l’apprentissage des outils bureautiques et internet pour la recherche d’emploi ;
Recrutement de travailleurs sociaux pour accompagner tous les publics en difficulté ; Soutien à la création d’ateliers et de jardins d’insertion, et d’emplois d’insertion dans les entreprises et les associations ; Développement de l’accès au micro-crédit social pour la création d’activités.
Renforcement de l’accompagnement des jeunes de moins de 25 ans : plus de moyens à la mission locale, transformation des permanences de St-Jean et des Brosses en véritables antennes ; Plus d’informations sur l’accès à l’apprentissage ; Accroissement du fonds d’aide aux jeunes en difficulté pour les encourager à définir un projet personnel, expérimenter l’année « d’exploration professionnelle », en Rhône-Alpes ou à l’étranger ; Développement du volontariat européen, du service civil et civique pour les jeunes au sein de la ville et avec ses partenaires.
Nous voulons un autre modèle économique, assurant le respect des travailleurs et s’appuyant sur l’économie sociale et solidaire, les circuits courts, les coopératives… Relocaliser l’emploi et mettre l’économie au service des citoyens, c’est possible, grâce à la création de nouvelles filières, utiles à l’emploi local et respectueuses de l’environnement.
Béatrice Vessiller est, selon moi, la plus crédible pour soutenir les structures favorisant l’insertion sociale et professionnelle. Pour des personnes loin de l’emploi, l’insertion est une première étape. Et dans le domaine du développement durable, il y a des gisements d’emplois énormes !
Les jeunes qui attendent un mois et demie leur rendez-vous à la Mission locale, ça va pas. Ils ont envie de se former, d’avancer, et c’est dur pour eux de galérer. Je compte sur Béatrice Vessiller pour améliorer la situation des jeunes !
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