La mise en place des programmes d’actions encadrant l’utilisation des fertilisants azotés et la gestion des effluents d’élevage dans les zones dites « vulnérables » découlent de la nécessité de gérer et de protéger la ressource en eau, menacée par une agriculture intensive et des élevages hors sol.
Nous ne pouvons que nous féliciter de la mise en place de tels programmes, et nous étonner que cette exigence ne soit pas partagée par tous les acteurs: l’eau, est un bien commun du vivant, un bien commun de l’humanité.
Il est donc indispensable de poursuivre les efforts en faveur de l’adaptation et la diffusion de bonnes pratiques agronomiques et en particulier l’agriculture et l’élevage biologique.
François Calvet, Marie Françoise Vabre, membres de la Commission agricole,
Françoise Dedieu-Casties, Vice-présidente en charge du développement durable
Guillaume Cros, Président de Groupe