Aprés l’Aveyron, après le Tarn, c’est maintenant le département du Lot qui vient d’annoncer qu’il ne prendra pas part au financement de la LGV Toulouse-Bordeaux-Paris . Son Président Gérard Miquel préfère que la collectivité travaille à l’amélioration de la liaison du département avec la capitale via Limoges
Une déclaration qui rejoint parfaitement la position des conseillers régionaux EE-LV portée par François Simon lors de la dernière Assemblée Plénière du Conseil Régional de Midi-Pyrénées. Une nouvelle qui confirme la pertinence de notre position : des trains à grande vitesse, oui, mais sur les lignes existantes