J’ai participé ce jeudi 1er juin à un débat organisé par Fédélor, 1ère organisation étudiante et de jeunesse de Lorraine, membre de la FAGE, dont j'ai été militant de nombreuses années. Sur le site du Saulcy, j'ai pu développer mon projet pour la jeunesse, l’enseignement supérieur et la recherche. J’y ai défendu l’attribution de moyens pérennes pour l’enseignement supérieur et la recherche, en tant que domaine d'avenir qui doit faire parti des priorités gouvernementales au même titre que les fonctions régaliennes. Les portes du savoir et de la science doivent être ouvertes à toutes et tous. Ainsi une sélection à l’entrée de l’université, ou un système à deux vitesses, universités endettées et grandes écoles inabordables, ne peuvent être tolérés. La recherche doit être soutenue par le financement publique tout en la laissant libre de ses orientations. C'est dans les interfaces et les collaborations inattendues que regorgent les découvertes de demain. La recherche est par essence une entreprise qui doit rester libre. Liberté et volontarisme sont nécessaires, je m'y engage !

Les électrices et électeurs français-es sont appelé-e-s à faire, une nouvelle fois en quelques semaines, un choix politique capital pour notre avenir. Et ceci dans un temps de brume annonciateur d'une recomposition jamais vue depuis plusieurs décennies. Dans chacune des 577 circonscriptions, ce choix devra être effectué en connaissance de cause. A cette fin, je demande à la presse quotidienne régionale et à l'ensemble des médias régionaux de mettre en place un débat sur chaque circonscription. Candidat de la gauche écologiste et universaliste sur la 3e circonscription de Meurthe-et-Moselle, je répondrai présent afin de présenter notre projet et de le soumettre à la critique, symbole du débat démocratique que les populistes essayent de brider.