Vers une société du bien vire ou bâtir la société de confiance (4 pages)
Le projet bien vivre (121 pages)
Elisabeth MATAK et Patrick MAURY, candidat-e-s sur la 31-04
Certains d’entre nous n’ont rien ou presque ; d’autres ont suffisamment mais constatent que leur qualité de vie se dégrade. Nous sommes inquiets pour l’avenir et notre désir d’écologie est immense : pour une meilleure qualité d’eau, d’air, de nourriture, un meilleur partage des richesses, un travail valorisant. Nombre d’entre nous agissent déjà dans leurs gestes quotidiens ou leur engagement associatif.
A l’Assemblée Nationale, nous faciliterons ces initiatives citoyennes, écologiques et solidaires, en proposant un cadre législatif adapté. Les solutions pour bien vivre existent !
Vos préoccupations, nos priorités :
-Soutenir, grâce à la transition écologique, les TPE/PME et les structures de l’Économie Sociale et Solidaire, créatrices d’emplois de proximité.
-Renforcer les critères écologiques, sociaux et fiscaux dans la commande publique et les aides économiques
-Lancer un grand plan de soutien public aux énergies renouvelables
-Développer l’offre de logement très social
-Poursuivre l’expérimentation de l’encadrement des loyers et réguler les loyers du parc privé
–Rénover le parc de logement social, les petites co-propriétés pour mettre fin à la précarité énergétique, en utilisant notamment le Tiers-financement.
-Sortir de la logique de rentabilité des services publics
-Rendre accessible une alimentation de qualité à l’ensemble de la population en soutenant l’agriculture biologique et les circuits courts.
-Remettre en cause l’industrie agro-alimentaire et son mode de production non respectueux de l’environnement et du bien-être animal.
-Affecter des moyens humains supplémentaires à l’école et réduire le nombre d’élèves par classe
-Investir massivement pour les trains du quotidien, les transports en commun
-Refonder les traités européens pour une Europe plus démocratique
-refuser la ratification des traités de libre-échange (CETA et autres)
etc..
Nous nous sommes engagé-es sur les propositions d’ANTICOR (voir l’article consacré)