Mercredi 2 avril 2014, Michel Kfoury, Président de Novissen, a tenu une conférence de presse avec les candidats EELV aux européennes, Karima Delli et François Veillerette, à Abbeville (Somme).
Michel Kfoury vient d’annoncer qu’il serait candidat sur la liste EELV menée par Karima Delli et François Veillerette sur l’eurorégion Nord-Ouest (Picardie, Basse et Haute Normandie, Nord-Pas de Calais). La 4e place, qu’il occupe désormais, était en effet réservée à un membre de la société civile, non adhérent EELV.
Président de l’association Novissen, qui se bat contre le projet de ferme-usine des « 1000 vaches » à Drucat (Somme), Michel Kfoury fait ainsi le choix d’amplifier la dynamique Europe Ecologie pour les élections européennes du 25 mai 2014.
« J’ai décidé de rejoindre la liste de Karima Delli car sur plusieurs dossiers, mes idées convergent avec Europe Ecologie, notamment sur les questions environnementales, sanitaires et énergétiques.
Autre combat que nous partageons : celui de la ferme des 1000 vaches qui est le symbole d’une lutte qui va au delà du local, mais qui est véritablement un problème de société, une question de santé publique. Je suis persuadé que nous avons besoin d’écologistes dans nos institutions, y compris européenne pour défendre un modèle respectueux de notre environnement actuel et futur »
Pour Karima Delli, tête de liste EELV sur l’euro-région : « Je me réjouis, de la venue sur notre liste de Michel Kfoury. L’Esprit d’Europe Ecologie, c’est l’ouverture à la société civile, c’est le sens de la présence de Michel sur notre liste. Nous défendons la doctrine de ‘la politique autrement’ mais également avec d’autres gens ! Vu la gravité des enjeux de ces élections européennes, tant sur le plan économique, social ou environnementale, nous avons besoin de personne comme Michel pour concilier la défense d’un nouveau modèle de société & l’importance de parler à l’ensemble de la société.
La lutte qu’il mène avec l’appui des écologistes contre le projet de ferme industrielle, dite des 1000 vaches est l’emblème de ce qui nous réuni, c’est une lutte locale mais qui fait écho à une question bien plus universelle : quel modèle de société voulons nous ? Quelle Europe nous voulons ? »