Alors que le 17 décembre, le tribunal correctionnel de Roanne avait relaxé les cinq syndicalistes, fonctionnaires de la Défense et agents hospitaliers poursuivis pour avoir refusé un prélèvement ADN estimant que ce prélèvement n’avait pas lieu d’être, le procureur de Lyon vient d’interjeter appel de cette décision.
« Les syndicalistes, les faucheurs d’OGM ou les militants du droit au logement n’ont pas leur place dans ce fichier créé à l’origine pour recenser les prédateurs sexuels » renchérit Julien Bayou.
EELV soutient les initiatives législatives qui visent à interdire le fichage génétique des militants et réaffirme son soutien à toutes celles et ceux qui usent de leur droit de citoyen conscient et engagé.
Madame Taubira, c’est la loi qu’il faut changer.
Emmanuelle Cosse, Secrétaire nationale
Sandrine Rousseau et Julien Bayou, porte-parole