Si EELV se félicite de la libération d’une des trois chanteuses des Pussy Riot à Moscou, nous continuons à réclamer l’abandon des poursuites judiciaires et des condamnations prononcées contre les deux autres.
Ce mauvais procès fait aux trois membres du groupe punk féministe « Pussy Riot », pour une chanson contre Vladimir Poutine, symbolise les violations des droits humains en Russie.
EELV continue de dénoncer l’acharnement contre ces artistes. La libération de Ekaterina Samoutsevitch ne suffit pas : il faut dorénavant obtenir le retrait de toutes les charges pesant contre Nadejda Tolokonnikova et Maria Aliokhina, les deux autres chanteuses, tout aussi innocentes au regard d’une justice démocratique, et donc leur libération immédiate.
Jean-Philippe MAGNEN, Porte-parole