1ère séance : Débat préalable au conseil européen des 13 et 14 décembre 2012 ; Adaptation de la législation économique et financière au droit de l’union européenne
Compte rendu des interventions de Madame Danielle AUROI
Première séance du mercredi 12 décembre 2012
Vidéos de son intervention :
1- Débat préalable au Conseil européen des 13 et 14 décembre 2012
2 – Adaptation de la législation au droit de l’Union européenne en matière économique et financière
Une réflexion au sujet de “Intervention de Danielle Auroi au débat préalable au conseil européen”
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour publier un commentaire.
L’écoute et la vision de ces suscite plusieurs réflexions :
1)Remerciements à Danielle Auroi de parler de l’inadaptation de la politique d’austérité, anti-solution catastrophique.
2) Inquiétude et tristesse devant le peu d’attention manifeste des députés présents.
Je souhaiterais d’ailleurs que la caméra nous montre plus souvent l’attitude de ceux qui sont sensés écouter ( on ne les a pas vus dans la 2ème vidéo)
3) Je n’ai pas compris pourquoi Mme Auroi demande que les pays n’appartenant pas à la l’Europe soient autorisés à voter ?
4) Je souhaiterais que l’accent soit davantage mis sur la responsabilité des banques dans la crise : Comme pour les particuliers , elles ont proposé ( et proposent encore) des prêts à tout-va, avec des accents trompeurs de bienfaiteurs, et se jettent quand elles le décident tels des vautours sur les plus faibles qu’elles tiennent entre leurs serres.
5) Pourquoi ne s’attaque-t-on pas à ce fonctionnement humainement choquant : faire payer plus à ceux qui ont le moins ? ( Je pense aux intérêts des emprunts)
6) Pourquoi ne s’interroge-t-on pas sur l’origine de l’argent des banques : N’est-ce pas Notre argent, l’argent que nous avons été obligés de mettre dans leurs coffres depuis que le versement de nos salaires ne se fait plus que par virement ? Je n’ai pas encore bien compris si la séparation des banques, de dépôt et de spéculation, est étudiée, et va être mise en place, comme le PS l’avait promis.