NTERVIEW – Le ministre délégué au Développement se rend à la conférence des Nations unies sur le climat à Doha avec la volonté de faire avancer les négociations…
On n’attend plus grand-chose de Doha mais la France espère beaucoup de 2015. Alors que le sommet des Nations unies sur le climat risque de finir ce samedi sur un accord en demi-teinte, Pascal Canfin se rend au Qatar avec en tête la prochaine étape clé des accords climatiques: le sommet de 2015, que François Hollande a proposé d’organiser à Paris. A la veille de son départ à Doha, le ministre délégué au Développement pense que l’on ne peut plus se permettre d’être défaitiste sur les questions climatiques.
Vous arrivez à Doha pour la fin des négociations, qu’espérez-vous de l’issue de ce sommet ?
Nous en espérons le compromis minimum qui permettra de construire la feuille de route pour les trois prochaines années, jusqu’à l’accord clé pour le climat qui aura lieu en 2015. Sur le climat, on n’a vraiment pas le droit d’être pessimiste. Face à l’urgence, relevée notamment par le rapport de la Banque mondiale qui parle de cataclysme, il faut être mobilisé et optimiste même si les négociations sont difficiles.
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