Messieurs les Présidents,
J’ai bien reçu votre lettre par laquelle vous me demandez d’approuver vos positions sur la compatibilité de la présence des grands prédateurs et de l’élevage ovin.
Si je vous rejoins entièrement dans la volonté d’un maintien, voire d’un développement de l’élevage ovin extensif français, facteur d’emplois, d’activité économique, d’occupation du territoire et de gestion des équilibres paysagers, et dans l’idée de soutenir les éleveurs concernés, nous sommes en désaccord sur l’analyse de la situation et de ses causes.
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