Les départements ne sont pas exempts de la crise démocratique que connaissent les institutions politique : abstention, perte de confiance dans l’action politiques et dans les élus, incompréhension concernant les différents échelons. La décentralisation actuelle apparait comme une réforme aux forceps. Les départements ont aujourd’hui des compétences essentielles sur les questions de solidarités, d’insertion. C’est un échelon sur lequel s’appuyer pour faire avancer la transition écologique.
Démocratie : nous instaurerons le droit d’interpellation des citoyens, à partir d’une pétition signée par plus de 5 % d’habitants de plus de 10 % des communes, le droit de référendum d’initiative locale à partir d’une demande signée par 15 % d’habitants issus de plus de 20 % des communes.
Nous mettrons en place dans notre canton un conseil des acteurs du territoire pour les accompagner tout au long de notre mandat.
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