Michel Thomas

Je suis un consultant expert en dématérialisation et en archivage de documents En dehors de mon engagement politique à EELV, je suis aussi le coordinateur de l’association des archivistes français pour le Grand Est. Je suis aussi secrétaire d’une association des Ulis (l’AVAG : association pour vivre l’autogestion) qui gère une ludothèque, de l’entraide scolaire, un groupe de théâtre et un centre multimédia, avec 8 salariés. Et aussi président d’une association dont le siège social est à Drosnay, dans le sud Marne, mais qui oeuvre aussi dans le Val díOise et l’Ile de France : Petit Renard joue et crée, ludothèque mobile, qui intervient pour des animations ponctuelles (comme par exemple à Alternatiba à Rouen) , et dans les écoles régulièrement dans le cadre des temps d’activités périscolaires. Et j’ai quelques passions comme le piano, et le chant choral. Politiquement, je me suis engagé en 1973 lors de l’occupation de LIP , au PSU et j’avais proposé de prendre la direction de l’entreprise en conservant toute l’activité et bien sur la gestion autogérée en place. Le triumvirat dont Charles Piaget avait alors hésité mais finalement a choisi un patron local, qui s’est empressé de liquider l’entreprise. Après les assises du socialisme qui ont failli réunir PSU et PS, je suis resté au PSU, écoeuré par le coup d’Ètat de Michel Rocard lors des assises. J’ai été secrétaire fédéral des Yvelines puis membre de la direction politique hexagonale de l’AREV. Lors de la création des Alternatifs, j’avais monté sur Orsay dans l’Essonne, un groupe local municipal, Citoyens Actifs et Solidaires, qui m’a permis d’être élu 10 ans conseiller municipal, et ce groupe CAS a trouvé que la proposition fédérative des Alternatifs ne l’intéressait pas. J’ai alors rejoint les Verts.

Je suis un ex urbain, né à Paris mais sentimentalement et familialement très breton, qui a fui dès que possible la ville pour vivre le plus possible à la campagne. J’aime profondément la vie des petites communes rurales, avec cette communion à la nature que l’on ne peut pas trouver ailleurs. Et si le breton est devenu Champenois, c’est qu’il a vécu 35 ans avec une Lorraine et qu’il connait et apprécie beaucoup cette région du Grand Est, tout particulièrement la rÈgion des lacs de l’Aube, la Marne et la Haute Marne, et les Vosges que j’aime bien, sans oublier les villes comme Reims, Nancy, Metz ou Strasbourg que je fréquente si nécessaire. Une de mes amies d’enfance est Alsacienne, de la région de Mulhouse.