Je propose que la région développe une politique de transports public audacieuse. – que les TER soient remis en place sur les lignes peu fréquentées, qu’ils soient plus fréquents, qu’ils accueillent davantage les vélos. J’ai personnellement eu l’expérience de lignes supprimées, de trains surchargés et de contrôleurs expliquant qu’ils ne sont pas obligés de prendre les cyclistes quand il n’y a plus de place un dimanche soir. – que les bus soient suffisament développés pour que la population puisse abandonner sa voiture : nécessité de mettre en place des fréquences importantes permettant aux travailleurs d’aller à leur travail et en revenir à des horaires tôt et tard. Mettre en place davantage de trains quand c’est possible : la ligne Grenoble – Chambery ne propose pas suffissament de train aux horaires de travail et trop peu en journée. Développer des lignes réservées aux bus sur les autoroutes pour permettre une fluidité du transport public à toutes heures y compris pendant les horaires de pointe. Je propose que dans le domaine des transports, la région aide à la mise en place de transports publics plus efficaces aux niveaux régional, départemental et des communautés de communes. Par exemple, en Crolles et Grenoble le trafic routier est saturé de 7h30 à 9h environ parce que tout le monde prend sa voiture. La réponse de la communauté de communes consiste à écréter la pointe de cet horaire au lieu de mettre en place des moyens qui diminueraient considérablement les voitures. Ce n’est pas une bonne solution, c’est contraire aux objectifs affichés dans le cadre de la COP21.