Champenoise de naissance, la pétillante Christelle monte à Paris au début des années 90 pour terminer ses études supérieures dans la communication et l'audiovisuel. Elle se plait dans la capitale et s'y installe, vivant dans les 10e, 20e, 9e et 18e arrondissement.

Elle parcourt aussi le monde en tant que réalisatrice, elle est amenée à travailler aux côtés de la Croix Rouge Française et découvre les courageux moyens de lutte contre le VIH mis en place par les hôpitaux de jour et les associations au Gabon et au Congo.

En Haïti, elle accompagne le programme de coopération décentralisée de la ville de Suresnes avec le Cap Haïtien et rencontre des habitants qui se battent contre l'illettrisme et des industriels qui voudraient que le pays attire plus d'investisseurs.
Elle découvre le revers de l'île en réalisant une émission de cuisine en République Dominicaine qui parle également d'immigration et de racine.
Elle réalise pour la télévision une série de 12 portraits de français expatriés en Amérique du Nord et les interroge sur leur rêve américain.

Khris voyage également en Australie, véritable coup de cœur pour les territoires du centre et la culture aborigène et recommande le livre "Message des hommes vrais au monde mutant" de Marlo Morgan.

Respectueuse des gens et de l'environnement, Khris aime le progrès, l'intelligence collective et l'énergie en découlant.
Bouddhiste, résolument, elle pense que l'écologie devrait être une philosophie de vie, mais comprend qu'en l'état actuel des choses, il faut s'organiser politiquement pour lutter contre la cupidité et le chacun pour soi.

Ses films de chevet : Solutions locales pour un désordre global de Coline Serreau, Notre pain quotidien de Nikolaus Geyrhalter, Idiocracy de Mike Judge.

Candidate d'ouverture, Christelle défend un projet de ville plus juste, plus vert et plus humain.