Une charte déontologique de l’élu-e pour rompre avec les pratiques clientélistes
A 100 jours des municipales, la défiance des Français envers la politique atteint un triste niveau record. Prolongement de la crise et déception des promesses présidentielles non tenues nourrissent la méfiance, la colère voire le dégoût.
A Perpignan, les systèmes clientélistes sont toujours à l'oeuvre et la ville s'enfonce dans la pauvreté. Le maire actuel manque d'autorité et les contribuables ne voient pas le fruit de leurs impôts, que ce soit en matière d'emploi ou de vivre mieux.
Les Perpignanais-es s'éloignent chaque jour un peu plus de leurs élu-es. Il est vrai que beaucoup d'entre eux parlent de faire de la politique autrement. Mais peu posent des actes.
En ce qui me concerne, je veux m’engager auprès des Perpignanais à changer radicalement les pratiques politiques. Durant mon mandat de maire, je respecterai, comme toute mon équipe une charte déontologique de l'élu-e.
Cette charte sera portée à l’ordre du jour du premier conseil municipal de la prochaine mandature. Adoptée, elle sera annexée au règlement intérieur du conseil municipal. Le respect des engagements de cette charte par l’ensemble des élu-es fera l’objet d’un contrôle régulier. Je m’y engage.
1 commentaire(s)
Bravo Jean.
Merci pour les perpignanais.
Christian