> A Fukushima Daiichi, la zone d’évacuation de la population s’est étendue à un périmètre de 20km autour de la centrale quand elle aurait dû être de 30km.

> En Poitou-Charentes, dans le département de la Vienne, le plan particulier d’intervention (PPI) de la centrale nucléaire de Civaux ne prévoit pas un périmètre de protection au-delà de 10km autour de la centrale ! La ville de Chauvigny n’est pas inclue et Poitiers non plus.

> Il en est de même pour la distribution des pastilles d’iode aux riverains : pas au-delà d’un périmètre de 10km !

> Le 28 mai 1959, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a signé avec l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA) un accord (référencé WHA12-40) qui permet de justifier la désinformation de la population en matière de sécurité sanitaire et qui a notamment minimiser les conséquences de Tchernobyl sur la santé humaine en invalidant un rapport scientifique remis par l’Académie des Sciences de New York.

Aucun programme de recherche ne peut ainsi être entrepris par l’OMS sans qu’il ait reçu l’aval et sans qu’il soit contrôlé en permanence par l’AIEA. Source : INDEPENDENT WHO ?

Encore combien de mensonges diffusés aux détriments de la survie de la population pour tenter de sauvegarder une industrie dépassée ?

> Depuis Fukushima, le mouvement anti-nucléaire a pris une telle ampleur au Japon qu’un nouveau parti politique, faisant du rejet de cette industrie son fer de lance, vient d’être créé.