Archives de : npdcadminCJ

  1. Dimanche 13 avril : toutes et tous à Divion contre les gaz de couche

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    Communiqué de presse EELV Nord Pas de Calais

     Lille, le 07 avril 2014

     

    Dimanche 13 avril : toutes et tous à Divion contre les gaz de couche

     

    Quand François Hollande ne promet un avenir meilleur que par la croissance et la production, Ségolène Royal remet en cause toutes ses promesses de 2012. Cela va de l’écotaxe à l’extraction des gaz de schistes ou de couche.

    Nous n’avons pas d’autre alternative que de nous battre contre ces solutions héritées du XIX° siècle.

    L’exploitation des gaz de couche est une aberration écologique et économique. Le prix à payer par les générations futures sera exorbitant pour quelques années de surconsommation égoïste.

    Dans le Nord / Pas de Calais, deux forages ont déjà été autorisés sur les communes d’Avion et de Divion. Le gaz de couche est un gaz « non conventionnel » comme le gaz de schiste et son extraction nécessite aussi la fracturation hydraulique pour être rentable.

    Outre les dégâts environnementaux comme la pollution irréversible des nappes phréatiques que causerait une telle exploitation (objectif : 150 forages !) dans cette région déjà meurtrie par 300 ans d’exploitation de charbon, ces forages seraient une porte grande ouverte sur l’exploitation des gaz de schiste en France.

    L’heure n’est plus à l’extraction forcenée des énergies fossiles extrêmes ! Exigeons une réelle transition énergétique, basée sur la sobriété, sur les énergies renouvelables et sur la relocalisation de nos activités.

    Venez nombreux manifester votre opposition à ces projets inutiles et destructeurs de l’environnement le dimanche 13 avril, à 14 heures à Divion, dans le Pas de Calais (62) au lieu-dit « la croix de Grès ».

    RDV Croix de Grès Divion

    Point de RDV à la Croix de Grès à Divion

    Stéphanie Bocquet, Daniel Compère,
    Porte-parole d’EELV Nord – Pas-de-Calais

  2. Quelle quinzaine politique !

    Certains pensaient qu’après les municipales, on prendrait un « break » : un peu de repos bien mérité. C’était sans compter le résultat électoral, les conséquences politiques, le contexte économique et la vie qui continue : claque électorale pour la gauche, plus de 100 élus municipaux écologistes en région, montée du populisme, l’abstention forte, remaniement du gouvernement, sortie du gouvernement, conseil fédéral qui confirme la décision de sortie et sur notre appartenance à la majorité de gauche sans chèque en blanc en réaffirmant que l’on est écologiste, l’axe fluvial seine nord, le lancement de la campagne des européennes, les pics de pollution des particules fines….

    Une leçon de cette séquence et il y en a beaucoup d’autres à en tirer, c’est la richesse de ces temps forts que sont les campagnes électorales. Nous avons découvert des militants. Nous avons eu des débats sur l’énergie, l’emploi, les transports…. Passionnant ! Il nous reste de très belles images : Eric Quiquet qui reçoit un tram en jouet des commerçants de La Madeleine, la misère de certaines situations dans les quartiers d’Arras mis en exergue par Hélène Flautre, les enfants découvrant l’escrime lors des temps périscolaires à Norrent-Fontes, dans un bureau de vote de Lens une interpellation d’une citoyenne séduite par une vidéo de campagne de Naceira Vincent… Il y en a des dizaines dans chaque villes et villages où les écologistes ont mené campagne. Et en Nord Pas de Calais nous avons augmenté notre présence et notre empreinte.

    Tout cela ne cache pas une de nos faiblesses : nous devons renforcer notre proximité, nos relations avec les concitoyens. Ces derniers nous ont envoyé des messages parfois forts. C’est en discutant avec eux que nous pourrons les comprendre. C’est en vivant parmi eux que nous devons proposer nos solutions d’écologie positive, c’est en entendant leur colère contre un système fou que nous devons être leur porte voix. Alors apprenons à jouer à la belote, continuons à jouer à la pétanque, retournons jardiner dans les jardins partagés, créons nos AMAP avec nos voisins… C’est cela aussi faire de la politique autrement et c’est aussi prendre du bon temps et du repos.

    Sylviane et Marc
    Secrétaires régionaux

     

  3. Nord – Pas-de-Calais : parce qu’il n’y a pas d’écologie sans les écologistes!

    Communiqué de presse EELV Nord Pas de Calais

    Nord – Pas-de-Calais : parce qu’il n’y a pas d’écologie sans les écologistes!

    Lille, le 01er avril 2014

    Dans l’histoire de l’écologie française, nous n’avons jamais été autant d’écologistes à porter des listes autonomes au 1er tour des municipales : il en est de même en Nord – Pas-de-Calais.

    Nous avons également porté nos valeurs au sein de listes d’union sur nos territoires.

    Europe Ecologie Les Verts Nord – Pas-de-Calais remercie chaleureusement les électrices et électeurs qui ont porté leur voix sur l’écologie des solutions, au 1er et au 2nd tour de ces municipales via les listes d’union.

    EELV Nord – Pas-de-Calais remercie tout particulièrement les militant-es qui ont travaillé et confronté avec les citoyen-nes les projets municipaux et intercommunaux, qui ont œuvré sur leur territoire au travers de rendez-vous, de réunions, de rencontres riches en débat d’idées.

    Ce maillage territorial, nous l’avons construit patiemment durant nos 30 ans d’existence au sein des majorités ou des oppositions, au sein du monde associatif et de la société civile.

    Nous avons porté et continuerons à porter la transition écologique de nos territoires au travers de projets concrets qui portent leurs fruits pour l’ensemble des habitant-es.

    Bien-sûr, nous avons encore beaucoup à faire…

    Beaucoup à faire pour que les abstentionnistes reviennent vers la Politique (la vie de la cité), reprennent le chemin de l’écoute, du dialogue, de l’envie de faire avec les autres, de l’envie de retisser des liens.

    Beaucoup à faire pour rétablir cette perte de confiance en l’avenir pour soi et pour les autres qui aboutit au final au rejet de l’autre et aux valeurs de solidarité.

    Cet état d’esprit conforte le terreau d’un Front national et d’une droite décomplexée, ne portant en étendard que stigmatisation et opposition : c’est la faute de… c’est à cause de…

    L’avenir de tous, pour tous est exclu de leurs propositions court-termistes.

    Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt, cette abstention est également dûe à la non-mobilisation des électrices et électeurs du Parti Socialiste, déçus d’un changement qui n’arrive pas.

    Parce que nos scores témoignent de la plus-value écologiste au quotidien, nous continuerons à porter la transition en Nord – Pas-de-Calais dans nos villes, nos villages et les intercommunalités.

    Il en sera de même le 25 mai prochain dans le cadre des élections européennes et en 2015 dans le cadre des régionales et des départementales : parce qu’il n’y a pas d’écologie sans les écologistes!

    Stéphanie Bocquet, Daniel Compère,
    Porte-parole d’EELV Nord – Pas-de-Calais

  4. Lutter contre l’ignorance

    De nombreuses militantes et de nombreux militants prêts à s’investir au sein des collectivités communales sont aujourd’hui profondément déçu-e-s de ne pouvoir participer à la transformation indispensable de notre économie et de notre société. Certain-e-s ont même de fortes raisons de s’inquiéter pour les personnes les plus fragiles de leur commune. Cependant leurs convictions restent intactes, et le dernier rapport alarmant du GIEC, sorti cette semaine, leur donnera encore plus envie de militer et de se battre, avec urgence,  pour l’avenir de la planète mais aussi celui de leur commune.

    Ainsi dimanche à Arras, le nouveau maire interpellé sur le pic de pollution supporté par ses citoyens a tout simplement répondu que « localement on ne pouvait rien faire » et s’est moqué, avec la salle « réservée à ses invités » (il n’y a pas que le FN d’Henin Beaumont qui ne respecte pas l’ouverture au public de la salle des délibérations) des conséquences des particules fines sur la santé des habitants ! Une telle ignorance et une telle irresponsabilité laissent pantois, mais si heureusement on ne peut généraliser cette médiocrité à tous les élu-e-s de la Région, elle montre à quel point notre travail et nos combats sont encore et toujours indispensables et urgents.

    Alors hauts les cœurs ! Mettons à disposition de nos envies, de nos projets, de nos espoirs, de nos enfants, de l’écologie, tout le temps que nous pensions consacrer à la gestion  de nos communes. Comme vous le savez toutes et tous, rien n’est inutile et tout est urgent, même la plus petite des gouttes d’eau.

    Sylviane et Marc

  5. Edito des secrétaires régionaux

    La campagne des municipales aura été marquée par des problèmes environnementaux majeurs: inondations, tempêtes, climat déréglé, pics de pollutions…

    Dans ce contexte, les écologistes, loin d’être alarmistes peuvent montrer l’écologie des solutions. Comment face à ces risques importants et croissants, dans une commune nous pouvons  résister et vivre mieux.

    Loin des croyances, des grands modèles, c’est avec pragmatisme que nous portons des projets de sorties de ce modèle à bout de souffle. Sans solutions toutes faites, en associant les citoyens dans cette transition écologique, nous inventons chaque jour pour reprendre notre destin en main.

    Il faut persévérer en prenant des positions au sein des exécutifs locaux, dans des majorités diverses, ou en étant le poil à gratter de l’opposition démocratique.

    Face à la peur et à la bête immonde du racisme et du fascisme, devant le repli sur soi et abstentionnisme, l’écologie politique donne un cap qui progressera dimanche soir, en région et en France.

    En région Nord Pas de Calais de beaux débats et actions nous attendent dès lundi prochain pour amplifier notre mobilisation des européennes: les gaz de schistes et l’énergie – le canal seine nord et le transport. Pour cela le conseil politique régional du 26 mars sera, comme tous les autres, animés et le débat à besoin de vous. La mobilisation continue.


    Marc et Sylviane

  6. Newsletter d’EELV Nord Pas de Calais du 13 mars 2014

    L’édito des secrétaires régionaux

    Nombre de listes aux municipales déclarent « ne pas faire de politique ». L’abstention même lors des élections de mars, réputées les plus mobilisatrices, sera en augmentation. Aux européennes, les assesseurs dans les bureaux de vote pourront prendre de la lecture en attendant les électeurs…

    Le malaise est profond. On peut comprendre quand on voit encore le scandale à l’UMP, le modem qui dénature la question du vote blanc, les renoncements des engagements du président et du parti socialiste sur le vote des étrangers… Même au sein de notre propre partie ou parfois le simple respect ou fraternité entre adhérents n’est plus notre façon de vivre ensemble…

    L’électeur, le citoyen, lui pendant ce temps, se réfugie dans l’extrémisme ou alors préfère prendre du temps pour soi, pour sa famille, pour ses amis…

    Le mal est plus profond car même les responsables dénigrent les corps constitués, les corps intermédiaires: élus, justice, syndicats, associations….

    Nous sommes petit à petit en train de désagréger le corps social de notre république et les fondements de notre démocratie. Certes il y a des choses à changer. Nous avons l’obligation de faire autrement. Nous les écologistes nous devons innover. C’est notre exigence pour transformer cette crise en transition.

    Le temps des campagnes électorales est un temps privilégié de la rencontre et de ne pas rester entre soi. De se confronter à des réalités parfois déconcertantes: la précarité, des talents, des passionnés, des aigris,… les gens quoi!

    Nous sommes tous sur le pont jusque fin mai, mais après, dans les exécutifs municipaux et intercommunaux, dans les groupes majoritaires ou d’opposition nous devons au travers des politiques publiques mettre en place le processus de la transition qui implique une chose: la participation, l’implication, l’écoute, la co-construction… Nous avons une expertise indéniable dans les villages et villes de la région. Nous sommes à la tête de la plus belle politique publique, portée par Myriam Cau au Conseil Régional comme Vice présidente en charge de la démocratie participative… Les écologistes nous ré-enchantons nos villes et nos villages.

    Sylviane et Marc,
    Secrétaires régionaux

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    AGENDA

    – du 08 mars au 26 avril : 50 jours d’actions pour dire non au nucléaire

    – le 14 mars : débat public à Hem sur le thème « Osons une économie… au service de l’humain : Création d’emplois, services à la personne, isolation et transition énergétique ». Rendez-vous à 18h30 au centre intergénérationnel de Beaumont, rue Racine, Hem. En présence d’Alain Vantroys, candidat tête de liste EELV à Hem.

    le 15 mars : meeting de fin de campagne à Villeneuve d’Ascq, à 19h à la salle Dequesne, rue Jean-Baptiste Bonte, en présence de Sandrine Rousseau, tête de liste à Villeneuve d’Ascq; Marie-Christine Blandin, sénatrice du Nord et Karima Delli, députée européenne et candidate aux européennes sur le territoire Nord-Ouest.

    – le 16 mars : meeting de fin de campagne à Hénin-Beaumont à 17h à la salle des fêtes (rue Voltaire) en présence de Marine Tondelier, 2éme de liste EELV, de Régine Calzia, 14éme de liste EELV, de Thierry Deneuville, 15éme de liste EELV, de Annick Damiens, 24éme de liste EELV et de Marie-Claude Duchateau, 32éme de liste EELV.

    le 17 mars : soirée débat à Wasquehal sur l’éducation et la culture, à partir de 19h à la salle du restaurant scolaire de l’école primaire du Capreau, rue Turgot, quartier du Capreau à Wasquehal. Soirée débat en présence de Marie Blandin, sénatrice du Nord; de Patrick Kanner, président du conseil général du Nord et de Bernard De-Veylder, premier EELV de la liste d’union « Wasquehal Ensemble Durablement ».

    le 18 mars : meeting de fin de campagne à Lille, à 20h au Splendid, en présence de Lise Daleux, tête de liste à Lille; Karima Delli, députée européenne et candidate aux européennes sur le territoire Nord-Ouest et José Bové, député européen et tête de listes des écologistes aux européennes. Lien vers l’évènement facebook

    – le 18 mars : meeting de fin de campagne à Arras, à 19h à l’auditorium de l’Atria (près de la gare) en présence d’Hélène Flautre, tête de liste à Arras, d’Antoine Détourné, de Ségolène ROYAL… Lien vers l’évènement facebook

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    Actualité

    Ferme des 1000 vaches : « Le combat pour une agriculture durable et créatrice d’emplois ne s’arrête pas là »

    Mercredi 12 mars 2014, le Tribunal Administratif a rejeté la demande en référé de suspension du permis de construire de la ferme-usine des 1 000 vaches à Drucat (Somme).

    Nous prenons acte de la décision de justice rendue aujourd’hui qui statue sur la régularité de la procédure administrative aboutissant à la délivrance du permis de construire.

    Elle confirme, comme on pouvait le redouter, que construire une usine démesurée pour y entasser des centaines d’animaux afin d’en tirer un bénéfice financier est bel et bien légal.

    Lire la suite de l’article sur le site de Karima Delli

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    L’article de la semaine

    Pollution aux particules fines : Lutter contre la pollution pour préserver notre santé

    climat

     

    Mardi 11 mars 2014, trois ONG écologistes vont porter plainte contre X pour mise en danger de la vie d’autrui. « Respire », « Rassemblement pour la planète » et « Ecologie sans frontière » souhaitent ainsi pointer du doigt les responsabilités de chacun face aux trop nombreux pics de pollution aux particules fines.

    L’eurorégion Nord-Ouest (composée de la Picardie, des Haute et Basse Normandie et du Nord-Pas-de-Calais) a été particulièrement touchée par des épisodes de pollution ce week-end : vendredi déjà, le seuil d’information aux particules fines avait été atteint en Nord-Pas de Calais et dans l’Oise. Dimanche, c’est la Haute-Normandie qui était concernée par le pic de pollution. Enfin, comment ne pas évoquer la région Ile-de-France où l’alerte rouge a été déclenchée dès vendredi et se poursuit encore aujourd’hui ?

    Les candidats EELV aux élections européennes rappellent que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait dès juin 2012 classé les particules fines dans la catégorie « cancérigène certain ». En octobre dernier, c’est même la pollution de l’air extérieur qui avait été placée dans la même rubrique.

    Lire la suite

    Voir aussi l’action à Lille et le communiqué de presse du 11 mars

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    Communiqué de presse EELV Nord Pas de Calais

    Lille,
    Le 11 mars 2014

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    FUKUSHIMA : hommage aux victimes passées, présentes et futures.

    Three Miles Island en mars 1979, Tchernobyl en avril 1986 puis Fukushima le 11 mars 2011 sont les plus grandes catastrophes nucléaires qu’a connues notre planète sur « à peine » 30 ans.

    Europe Ecologie Les Verts Nord – Pas-de-Calais s’associe aux commémorations qui auront lieu par les groupes locaux (pour exemple, recueil devant le Ginkgo Biloba planté en mars 2012 à Béthune)- en ce jour anniversaire pour les victimes de Fukushima, passées, présentes et futures.

    Eau, air, sols pollués… des populations contaminées, malades des radiations libérées lors des 3 explosions au sein de la centrale nucléaire japonaise.

    Plus près de chez nous, en Nord – Pas-de-Calais, se trouve la plus importante centrale nucléaire d’Europe de l’Ouest : Gravelines aura 40 ans en 2020 et accumule les risques liés au vieillissement de ses 6 réacteurs nucléaires.

    Plus près de chez nous, le transport des déchets nucléaires d’une haute dangerosité continuent de transiter à travers notre région : les « castors » (sigle anglais pour Cask for storage and transport of radiactive material) circulent impunément, utilisant les voies ferrées sans aucune information envers les collectivités traversées et encore moins les populations concernées par ces passages en milieu urbain, péri-urbain et rural.

    Les convois s’autorisent même à passer la nuit à Lomme Délivrance à 100 mètres des habitations!

    Le nucléaire est et restera une technologie extrêmement dangereuse et également très coûteuse : le nucléaire pas cher est un mythe dont il faut s’émanciper.

    Pour rappel, sur l’initiative des élus d’Europe Ecologie Les Verts, le conseil régional a adopté le 14 avril 2011, l’engagement d’œuvrer à une « transition énergétique qui doit nous conduire vers un monde dans lequel la satisfaction de nos besoins ne dépende plus du nucléaire et des énergies fossiles ».

    L’institution régionale a poursuivi l’idée via la réflexion dans le cadre des opérations de développement de la transformation écologique et sociale autour de la création d’une filière de démantélement des réacteurs nucléaires.

    Au niveau national, EELV sera particulièrement attentive sur le contenu du projet de loi Transition Ecologique qui sera l’occasion pour le Président de la République de respecter ses engagements notamment sur la place du nucléaire dans la production électrique.

    Stéphanie Bocquet, Daniel Compère,
    Porte-parole d’EELV Nord – Pas-de-Calais

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    Le coup d’gueule… des intermittents

    Plus de 1000 personnes mercredi dans les rues de Lille pour défendre l’Art et la Culture

    EELV SOLIDAIRE DES ARTISTES !
    DEFENDONS L’ART ET LA CULTURE !

    En 2003, le statut de l’intermittence des artistes français a été réformé de façon mensongère, irresponsable et assassine, fragilisant et excluant nombre d’entre eux et ne résolvant en rien le déficit des caisses de l’Unédic.
    Aujourd’hui, c’est la suppression totale du régime de l’intermittence que réclame le Médef.

    Informez-vous, regardez les RIPOSTES sur www.cip-idf.org
    En 2013, le budget de la culture a baissé, notamment les crédits dévolus à l’éducation artistique, pourtant annoncée comme une grande priorité nationale.
    En 2014, ce budget est soumis à un gel plus important encore que les années précédente (7%) et les budgets des collectivités territoriales n’échapperont pas à cette tendance.

    EELV soutient les intermittents du spectacle

    EELV soutient les intermittent-es du spectacle

    Toutes les infos sur : http://intermittents59-62.blogspot.fr

    Les écologistes ont apporté leurs soutiens et participé à cette mobilisation. Ils entendent le profond désarroi des artistes et des professionnels de la culture. Partout en Europe, les budgets publics dédiés à la culture décroissent dans un contexte que l’on ne saurait réduire à une crise économique et financière, mais qui est, en réalité, une crise profonde de société. Plus que jamais, il faut réaffirmer que nous avons tous et toutes plus que besoin des artistes et des diffuseurs de culture.

    Lire la suite

    Voir aussi la tribune du comité de suivi de la réforme de l’assurance chômage des Intermittents sur le site de http://mariechristineblandin.eelv.fr

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    Municipales 2014

    Dans un peu moins de deux semaines se déroulera le 1er tour des élections municipales, l’occasion de revenir sur l’atelier d’Hamza El-Kostiti, militant EELV et élu à Halluin, qui a animé plusieurs fois lors de séminaires ou des journées d’été régionales des ateliers sur la communication dans l’espace public. En voici l’un des compte-rendus ci-dessous.

    Atelier porte-à-porte et communication dans l’espace public

    le 26 janvier 2014 à Lille

    par Hamza El Kostiti

    elkostiti@gmail.com

    Le porte-à-porte,
    le principale outil pour gagner des voix dans une élection municipale ?

    Le compte-rendu de l’atelier « militance de contact » réalisé le 29/06/2013 lors des journées d’été de Calais peut être consulté ici : compte-rendu atelier « Militance de contact »

     

    1. Contexte

    Depuis 1980, les facteurs qui ont favorisés le désintérêt de la politique et l’abstentionnisme :

    – augmentation du nombre de scrutins (une élection tous les deux ans)

    – affaires et scandales politiques

    – cumul des mandats et monopolisation des postes éligibles par une oligarchie

    – crise économique

    – la diminution des rencontre avec les habitants de nombreux cadres politique

    – la diminution du porte à porte

    – la sur information (dans le cadre de la « bfmisation » de la société et de la bulle internet )

     

    => Le porte-à-porte est un outil très efficace pour réconcilier les gens avec la politique.

    Il crée des rencontres courtes et intéressantes.

    Il est puissant, et peu onéreux.

    Des études ont évalué que :

    100 tracts = 1 voix 10 portes = 1 voix

    La durée de vie moyenne d’un tract distribué en boite à lettres est de 7 secondes.

    Dans les outils de communication (sauf certains passage à la tv) rien n’est plus efficace qu’une campagne intensive de porte-à-porte.

     

    1. Les enjeux du porte à porte
    • Réinvestir la démocratie de proximité. Que les citoyens voient « des vrais gens engagés ».
    • Faire de l’éducation populaire : expliquer (en quelques minutes) les enjeux d’une élection (ce que fait la ville et ce qu’elle ne fait pas…), avec des mots simples.
    • Apporter du lien social.
    • Faire de l’empowerment
    • Faire connaître ce qu’on propose pour la gestion de la cité (l’écologie la ville en mieux).
    • Écouter les gens et partir de leur préoccupation
    • Faire de la communication politique et se rendre visible
    • Gagner des voix.

    1. Méthode

    Voici en vrac un mémo des trucs pour réaliser le porte-à-porte :

    Sur la forme :

    • Former des binômes, de préférence H/F avec des âges différents.
    • Se présenter, avoir un mot d’entrée poli
    • Dire le nom de la tête de liste et le répéter. A contrario, ne jamais citer le nom de l’opposant.
    • Avoir un support à donner : des cartons à accrocher aux portes dans les immeubles pour indiquer qu’on est passé (plus cher mais tout aussi efficace que le tract dans la boite aux lettres). Ne pas passer plus de 5 minutes. Au-delà ce n’est pas efficace. 10 portes par heure.
      • tract
      • on peut avoir une carte de visite. Si la personne ne prend pas le tract, la carte de visite a un côté plus neutre
    • Toquer maximum 3 fois, attendre un peu mais pas trop : pas de temps à perdre.
    • Noter les contacts positifs, en proposant aux personnes de donner leur adresse mail.
    • Si possible : noter les portes qui sont restées fermées (pour repasser de manière ciblée).
    • Préférer des vêtements gais, colorés (on n’est pas les témoins de Jéhovah…). Avoir un badge, un signe distinctif. Attention l’excès d’originalité porte préjudice à la crédibilité !
    • Éviter les odeurs forts du style tabac ou huile de friture (ce n’est pas une blague)

    Lire la suite du compte-rendu

  7. [tribune] Pour une réforme juste et équitable de l’assurance chômage des intermittents

    [tribune] Pour une réforme juste et équitable de l’assurance chômage des intermittents

  8. Atelier porte-à-porte et communication dans l’espace public

    Atelier porte-à-porte et communication dans l’espace public

    le 26 janvier 2014 à Lille

     par Hamza El Kostiti
    elkostiti@gmail.com

     Le porte-à-porte

    le principale outil pour gagner des voix dans une élection municipale ?

     

     Le compte-rendu de l’atelier « militance de contact » réalisé le 29/06/2013 lors des journées d’été de Calais peut être consulté ici : http://npdc.eelv.fr/wp-content/blogs.dir/6/files/2013/08/2013-06-29_CR_atelier_militance-de-contact.pdf

     

    1. Contexte

    Depuis 1980, les facteurs qui ont favorisés le désintérêt de la politique et l’abstentionnisme :

    –        augmentation du nombre de scrutins (une élection tous les deux ans)

    –        affaires et scandales politiques

    –        cumul des mandats et monopolisation des postes éligibles par une oligarchie

    –        crise économique

    –        la diminution des rencontre avec les habitants de nombreux cadres politique

    –        la diminution du porte à porte

    –        la sur information (dans le cadre de la « bfmisation » de la société et de la bulle internet )

     

    => Le porte-à-porte est un outil très efficace pour réconcilier les gens avec la politique.

    Il crée des rencontres courtes et intéressantes.

    Il est puissant, et peu onéreux.

    Des études ont évalué que :

    100 tracts = 1 voix      10 portes = 1 voix

    La durée de vie moyenne d’un tract distribué en boite à lettres est de 7 secondes.

    Dans les outils de communication (sauf certains passage à la tv) rien n’est plus efficace qu’une campagne intensive de porte à porte-à-porte.

     

    1. Les enjeux du porte à porte
    • Réinvestir la démocratie de proximité. Que les citoyens voient « des vrais gens engagés ».
    • Faire de l’éducation populaire : expliquer (en quelques minutes) les enjeux d’une élection (ce que fait la ville et ce qu’elle ne fait pas…), avec des mots simples.
    • Apporter du lien social.
    • Faire de l’empowerment
    • Faire connaître ce qu’on propose pour la gestion de la cité (l’écologie la ville en mieux).
    • Écouter les gens et partir de leur préoccupation
    • faire de la communication politique et se rendre visible
    • Gagner des voix.

    1. Méthode

     Voici en vrac un mémo des trucs pour réaliser le porte-à-porte :

     Sur la forme :

    • Former des binômes, de préférence H/F avec des âges différents.
    • Se présenter, avoir un mot d’entrée poli
    • Dire le nom de la tête de liste et le répéter. A contrario, ne jamais citer le nom de l’opposant.
    • Avoir un support à donner :Des cartons à accrocher aux portes dans les immeubles pour indiquer qu’on est passé (plus cher mais tout aussi efficace que le tract dans la boite aux lettres).
      • tract.
      • On peut avoir une carte de visite. Si la personne ne prend pas le tract, la carte de visite a un côté plus neutre.
    • Ne pas passer plus de 5 minutes. Au-delà ce n’est pas efficace. 10 portes par heure.
    • Toquer maximum 3 fois, attendre un peu mais pas trop : pas de temps à perdre.
    • Noter les contacts positifs, en proposant aux personnes de donner leur adresse mail.
    • Si possible : noter les portes qui sont restées fermées (pour repasser de manière ciblée).
    • Préférer des vêtements gais, colorés (on n’est pas les témoins de Jéhovah…). Avoir un badge, un signe distinctif. Attention l’excès d’originalité porte préjudice à la crédibilité !
    • Éviter les odeurs forts su style tabac ou huile de friture (ce n’est pas une blague)

     

    Sur le fond :

    • Avoir des points d’accroche concrets (les enfants, le cadre de vie…)
    • On peut avoir une accroche personnelle (écouter la personne exprimer une préoccupation), mais il faut rapidement embrayer sur nos propositions.
    • Avoir des éléments de langage, des phrases simples :

    Exemples :

    Si la personne exprime un besoin de sécurité : « oui tout le monde a besoin et droit à la  tranquillité ».

     « L’écologie politique  ce n’est pas que l’environnement »

    « On a les élus qu’on mérite, c’est important de les choisir. »

    Ne pas parler de « décroissance », mais évoquer plu tôt la sobriété, les économies, la lutte contre le gaspillage.

     

    • Personnaliser et partez de votre parcours  (ex : « vous savez, je suis père de famille et pour moi c’est important que… ») tout en restant honnête (ne pas faire semblant de s’intéresser au foot si on s’en fiche !). Être dans le registre de la normalité : « on connaît votre quotidien car on le partage »tout en apportant des propositions politiques.
    • Être honnête : la ville ne peut pas promettre l’emploi pour tous. Éviter de tomber dans l’assistanat : l’élu n’est pas là pour donner des coups de mains, il n’a pas de baguette magique. Un discours de vérité permet de rétablir la confiance. « Je ne viens pas vous promettre la lune, mais on peut faire changer des choses. »
    • Si les personnes parlent de sujets nationaux, raccrocher toujours aux sujets locaux.
    • Respecter les gens et leur avis. Si la personne ne veut pas voter, respecter son avis. Ne pas être moralisateur (ex : « vous savez dans certains pays on ne peut pas voter »)
    • Mettre en avant le travail des élus. L’écologie doit gagner en crédibilité.
    • Pour les abstentionnistes (entre les 2 tours) :

    « Si vous deviez voter, pour qui le feriez-vous : pour vous, pour vos enfants, pour le cadre de vie, pour la démocratie ? »

     

    S’organiser :

    Adapter les horaires à la sociologie.

    La plage horaire qui fonctionne mieux est en général 18h30-20h00, et le mercredi et le samedi.

    Connaître la population de la ville : aller consulter les données de l’INSEE.

    Site internet à consulter :  le journal du net.

    Découper la ville selon les bureaux de vote, et répartir les secteurs. On est plus efficace dans les quartiers/ les immeubles où on habite.

    Dans un immeuble, démarrer par le haut et descendre (le bruit permet de « s’annoncer »).

    Récupérer les listes électorales (format papier et informatique). Entre les deux tours, aller à la préfecture consulter les cahiers d’émargement, et noter les adresses des abstentionnistes. Ensuite, aller les chercher au porte-à-porte.

    Pour identifier les mal-inscrits (entre 10 et 20% des électeurs), aller après l’élection récupérer (si c’est possible )à la poste ou la mairie les enveloppes de professions de foi qui sont revenues avec la mention « n’habite pas à l’adresse indiquée ».( procédure à vérifier juridiquement)


    La communication dans l’espace public

     

    A qui appartient l’espace public ? A tout le monde , dans la limite de ce que la loi autorise.

    Les endroits a forte chalandise sont stratégiques.

    quelques phrases pour illustrer le propos et les enjeux de la communication politique :

    1. « Communiquer c’est émettre un son supérieur au brouhaha général. »
    2. « La forme c’est le fond qui se déguise pour se faire entendre. »
    3. « Qu’on parle de vous en bien ou en mal l’essentiel c’est qu’on parle de vous »

    L’espace public est un lieu stratégique ou il doit se passer des choses.

    L’essentiel ce n’est pas de faire du superficiel mais en amont vous devez choisir le sujet politique ou la revendication que vous souhaitez mettre en scène pour mieux vous faire entendre.

    Un buzz sans message politique, sans consistance, n’a pas d’utilité.

    => Il faut être présents et visible, attention à l’excès d’originalité qui chez les écologistes peut vite nous discréditer.

     

    Pour aller plus loin -ouvrages à consulter :

    Porte à porte, Guillaume Liegey, Arthur Muller, Vincent Pons, éditions Calmann Lévy, 2013

    Être radical : Manuel pragmatique pour radicaux réalistes -Saul Alinsky

    Refaire la cité : L’avenir des banlieues -édition la république des idées, Michel Kokoreff , Didier Lapeyronnie

  9. Plus de 1000 personnes mercredi dans les rues de Lille pour défendre l’Art et la Culture

    EELV SOLIDAIRE DES ARTISTES ! DÉFENDONS L’ART ET LA CULTURE !

    En 2003, le statut de l’intermittence des artistes français a été réformé de façon mensongère, irresponsable et assassine, fragilisant et excluant nombre d’entre eux et ne résolvant en rien le déficit des caisses de l’Unédic.
    Aujourd’hui, c’est la suppression totale du régime de l’intermittence que réclame le Médef.

    Informez-vous, regardez les RIPOSTES sur  www.cip-idf.org
    En 2013, le budget de la culture a baissé, notamment les crédits dévolus à l’éducation artistique, pourtant annoncée comme une grande priorité nationale.
    En 2014, ce budget est soumis à un gel plus important encore que les années précédente ( 7%) et les budgets des collectivités territoriales n’échapperont pas à cette tendance.

    Les intermittent-es dans la rue le mardi 12 mars 2014

    Les intermittent-es dans la rue le mardi 12 mars 2014

    Toutes les infos sur : http://intermittents59-62.blogspot.fr

    Les écologistes ont apporté leurs soutiens et participé à cette mobilisation. Ils entendent le profond désarroi des artistes et des professionnels de la culture. Partout en Europe, les budgets publics dédiés à la culture décroissent dans un contexte que l’on ne saurait réduire à une crise économique et financière, mais qui est, en réalité, une crise profonde de société. Plus que jamais, il faut réaffirmer que nous avons tous et toutes plus que besoin des artistes et des diffuseurs de culture. 

    EELV soutient les intermittents du spectacle

    EELV soutient les intermittents du spectacle

    Certes, il est toujours bon de rappeler que le secteur culturel toujours en croissance représenterait, selon les sources, 3, 5% du PIB européen et près d’un million d’emplois salariés et non-salariés en France. Mais le secteur ne peut se contenter de vouloir contribuer à la sacrosainte croissance. Nous avons trop longtemps perdu de vue ce qui nous rassemble dans ce champ d’actions et légitime des politiques publiques offensives et volontaristes. La reconnaissance et la dignité des personnes, le dialogue interculturel, l’émancipation des individus et la formation de l’esprit critique, le développement de la sensibilité individuelle et collective, autant de nécessités vitales pour chacun-e et pour nos communautés que l’on ne doit pas abandonner aux logiques de marché et à la loi du plus fort !

    Les écologistes sont ainsi opposés à la baisse des moyens publics dédiés à la culture et regrettent, depuis 2012 et cette année encore, le choix du gouvernement de baisser un budget national déjà très faible. 

    Nous serons, comme nous l’avons été dans le passé, au plus près des revendications des intermittents lors des prochaines négociations du protocole UNEDIC considérant que la solidarité interprofessionnelle fait sens dans ce contexte.

    Vincent Dhelin,
    Intermittent du spectacle

  10. La politique désenchante

    Nombre de liste aux municipales déclarent « ne pas faire de politique ». L’abstention même lors des élections de mars, réputées les plus mobilisatrices, sera en augmentation. Aux européennes, les assesseurs dans les bureaux de vote pourront prendre de la lecture en attendant les électeurs…
     
    Le malaise est profond. On peut comprendre quand on voit encore le scandale à l’UMP, le modem qui dénature la question du vote blanc, les renoncements des engagements du président et du parti socialiste sur le vote des étrangers… Même au sein de notre propre partie ou parfois le simple respect ou fraternité entre adhérents n’est plus notre façon de vivre ensemble…
     
    L’électeur, le citoyen, lui pendant ce temps, se réfugie dans l’extrémisme ou alors préfère prendre du temps pour soi, pour sa famille, pour ses amis…
     
    Le mal est plus profond car même les responsables dénigrent les corps constitués, les corps intermédiaires: élus, justice, syndicats, associations….
     
    Nous sommes petit à petit en train de désagréger le corps social de notre république et les fondements de notre démocratie. Certes il y a des choses à changer. Nous avons l’obligation de faire autrement. Nous les écologistes nous devons innover. C’est notre exigence pour transformer cette crise en transition.
     
    Le temps des campagnes électorales est un temps privilégié de la rencontre et de ne pas rester entre soi. De se confronter à des réalités parfois déconcertantes: la précarité, des talents, des passionnés, des aigris,… les gens quoi!
    Nous sommes tous sur le pont jusque fin mai, mais après, dans les exécutifs municipaux et intercommunaux, dans les groupes majoritaires ou d’opposition nous devons au travers des politiques publiques mettre en place le processus de la transition qui implique une chose: la participation, l’implication, l’écoute, la co-construction… Nous avons une expertise indéniable dans les villages et villes de la région. Nous sommes à la tête de la plus belle politique publique, portée par Myriam Cau au Conseil Régional comme Vice présidente en charge de la démocratie participative… Les écologistes nous ré-enchantons nos villes et nos villages.

    Sylviane et Marc
    Secrétaires régionaux

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