Nous accueillons avec bienveillance la nomination de Nicolas Hulot au titre de ministre d’État de la transition écologique et solidaire. Un niveau dans la hiérarchie d’État inédit avec un titre nouveau et fondamental.
Si nous partageons les valeurs et les convictions portées par Nicolas Hulot, nous sommes en revanche hostiles à la politique libérale défendue par Emmanuel Macron.
Nous pensons que seule une large mobilisation de la société civile, et l’obtention d’un plus grand nombre de parlementaires écologistes, sont en mesure de réorienter les politiques de ce gouvernement.
L’écologie n’est pas et ne peut être un simple supplément d’âme.
Le climat est une urgence. Il faut agir vite.
L’abandon du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes est une demande forte des défenseur.e.s de l’environnement.
Nous souhaitons bon courage à Nicolas Hulot. Mais sans une majorité de transformation derrière lui, sans une présence forte des écologistes à l’Assemblée Nationale, il ne pourra pas réussir son pari.
Si on veut faire de l’écologie et résister aux lobbies bancaires et industriels, il faut des écologistes au parlement.
Le nombre de voix de l’écologie politique aux législatives sera le premier signal fort envoyé au gouvernement pour réussir la transition indispensable de la société.
Les candidat.e.s
REAU Laurence et FURSTOSS Vincent – 2e circonscription
BOIVIN Armelle et PAQUEREAU Dominique – 3e circonscription