En France, on estime qu’un à deux enfants meurent chaque jour de maltraitance. En Suède, presque aucun. La différence? En Suède, depuis 1979, on estime que frapper un enfant n’est pas un acte pédagogique mais bien une violence. Ce ne sont bien sûr pas les fessées qui tuent mais elles ouvrent la voix à considérer qu’un certain degré de violence physique à l’égard des enfants est normal voire bénéfique. C’est ce comportement de banalisation qui conduit trop souvent à une violence incontrôlée.
C’est également la conclusion du parlement lituanien qui, le 14 février 2017, vient de passer une loi interdisant toutes formes de violences sur les enfants.