Signer le pacte du logiciel libre, pour un candidat à la députation, cela n’a rien d’anodin.
C’est un engagement fort pour soutenir le réformisme en faveur d’une société numérique de la connaissance, plus ouverte, plus généreuse. Les logiciels libres sont en effet accessibles à tou-te-s et contribuent à réduire les inégalités du système éducatif. L’interopérabilité favorise les échanges de documents, et donc la connaissance partagée.
Les logiciels libres sont gratuits, et permettent de réduire drastiquement les coûts de licence des administrations. Pour exemple, la ville de Munich a économisé 4 Millions d’euros en passant son administration sous logiciel libre, alors même qu’elle a multiplié par cinq le nombre d’ordinateurs de son parc informatique.
Signer le pacte du logiciel libre, c’est aussi être attentif aux manÅ“uvres des lobbys du numérique qui pourraient tenter de rendre caduque les caractéristiques du logiciel libre – représentation du combat mené par les progressistes en Europe contre le brevet logiciel – .
Rodéric Aarsse a signé le pacte du logiciel libre, vous pouvez consulter le site de l’APRIL ici.