Une colère, légitime, justifiée, fondée sur des faits, actes réels, indiscutables.
Alors pourquoi les discuter?
Pourquoi ? En ce lieu (normalement convivial) trottoir, carrefour politique de la rue G.Didier suis-je victime de harcelement?
Pourquoi la question me revient régulièrement en pleine… rien… j’esquive ?
Est-il vrai, que dans l’équipe féminine de tennis de table, trois filles sont roumaines ?
Est-il vrai que la ville, la mairie (nous quoi), payons les déplacements Aller Retour par avions toutes les semaines ?
Les premières fois je rigole. A questions stupides, réponses stupides.
« OUI, Échirolles est une ville d’accueil, les ROMS au terrain, les roumaines à la table de ping-pong. »
Là injonction, ordre « JEAN (c’est moi) arrêtes de te moquer » même RENZO, le dit
« Je lui ai déjà dit… je crois qu’il… »
Eh ! bien preuve que j’ai compris, j’ai posé la question à la réunion de la commission, à Mme Legrand Adjointe aux sports.
Une première réponse « Parce que c’est comme ça… et que… et que… et que de toutes façons, elles reviennent moins chères que des chinoises ou des polonaises »
Elle s’est engagée à me (à nous) communiquer les coûts, et, et tout, ou presque dans des délais si j’OSE dire raisonnables.
Je communiquerai à mes concitoyens du trottoir dès réponses obtenues…
…et colères passées.
Jean Frackowiak, élu municipal à Échirolles