Chef d’entreprise - Paysagiste depuis 20 ans et Exploitante agricole depuis 10 ans.

Citoyenne, photographe, militante depuis 36 ans dans le département des Yvelines.
Depuis 15 ans, j’ai le devoir de mener à bien, des mandats d’administratrice au niveau national auprès des institutions interprofessionnelles, des filières du paysage et de l’horticulture, des engagements associatifs dans les réseaux d’éco-construction, d’agro-matériaux, fermes pédagogiques, déléguée cantonale de la mutualité sociale agricole, toujours dans le but de faire évoluer les droits des citoyens et des consommateurs. Candidate à gauche, dans l’aventure des élections municipales en 2001. Parents d’élèves depuis 13 ans, pour soutenir l’éducation et l’avenir de nos enfants, plus particulièrement, combative sur le sujet des enfants dyslexiques.
Si je suis candidate, c’est pour soutenir chaque citoyen dans ce qu’il a de différent et donc de riche, c’est contribuer au changement de notre société, dans la durée, car je suis une femme, avec des projets de vie et je ne peux me résigner à un avenir subi et non choisi, notre génération future doit avoir le choix. Je suis une femme engagée et militante depuis longtemps, en 1978, j’avais 15 ans lorsque je nettoyais les plages de Bretagne qu’avaient été souillées par l’Amoco Cadiz.
Un parcours professionnel, qui rejoint mon engagement personnel, mon expérience prouve, que l’économie et l’écologie ne s’opposent pas, au contraire, elles restent indissociables, si l’on veut un avenir durable pour l’homme. Munie, des différentes connaissances nécessaires pour appréhender les sujets dans leur globalité, comme la Gestion et la Finance, l’Environnement, l’Agriculture et l’urbanisme, les relations Humaines et la Communication, avec une solide pratique de nos institutions depuis 1997, je veux accompagner positivement la mutation de notre société.
Hier,1978, je m’engageais, sur les traces de l’Amoco Cadiz, Aujourd’hui, 2012 , je m’indigne face à des autorités, qui prennent tous les droits, même celui d’un projet de construction circuit de formule 1, sur des terres agricoles - Projet abandonné pour un coût 9 millions € pour le département, je m’indigne, lorsque je constate, peu de cantines bio, alors je participe à leur mise en place dans notre lycée, avec beaucoup de difficultés, parce qu’il n’y a pas d’adéquation entre l’offre et la demande qui augmente, je m’indigne quand j’apprends que l’installation d’un Biocoop, s’est faite sans aucun soutien, je m’oppose à la construction d’une route d’un coup 4 fois supérieur au détriment d’une piste cyclable et une profusion d’éclairage public.
Notre monde se complexifie, je veux continuer à informer nos concitoyens afin qu’ils sachent que l’économie et l’écologie restent compatibles, pour un mieux vivre ensemble.