Aujourd’hui 1 milliard d’humains est en situation de famine, les trois-quarts sont des paysans, contraints de vivre misérablement ou de quitter définitivement leur terres. Pendant qu’un autre milliard, dont nous sommes, souffre de « malbouffe » et de « suralimentation ». Résultat : diabète, obésité, maladies cardio-vasculaire, cancers…
Les choix que nous avons en matière d’alimentation ont un impact sur le reste de la planète, ils pèsent sur la souveraineté alimentaire des pays du Sud comme sur les comptes de notre Sécurité Sociale.
Mieux manger, sans dévorer la planète : défendons une agriculture paysanne, remettons les lobbies à leur place, éduquons nos enfants, développons les circuits courts. Retrouvons le plaisir d’une alimentation de qualité, accessible à tous.
Je vous invite à venir débattre des solutions écologistes ce vendredi 18 mai à l’Hôtel d’Effiat, 18h30 à Montrichard.