Parfois, il y a juste l’effroi. La terreur indicible distillée par un fou assassin et calculateur. Et une émotion profonde pour ses victimes et leurs proches.
Parfois il y a juste l’effroi, et tout de suite, la nécessité de ne pas se laisser aveugler par l’émotion qui nous ferait perdre pied.
On ne sait pas encore pourquoi un homme est entré en guerre contre la société. Il faut le trouver vite. Et croire en notre capacité à faire exister la solidarité et la fraternité. Parce qu’elles sont nos armes contre la folie meurtrière, et qu’ils nous faut les porter haut.
Gauguin, La Mort.