(…) « Tout le monde sait que les écolos savent s’occuper d’environnement. Ce qu’on sait moins, c’est que nous avons aussi des choses à dire sur l’emploi, le pouvoir d’achat, la qualité de vie ou l’éducation », insiste-t-il, persuadé que « c’est au niveau de l’écologie que se situe la clef », y compris en matière économique. Et de citer pour exemple la situation « scandaleuse » de General Motors, Caddie ou Stracel et la nécessaire évolution de leurs activités « en s’appuyant sur les salariés et leur connaissance de l’outil de travail ». Parce que, dit-il, « la politique n’est pas une affaire de spécialistes » et que « tout le monde peut être acteur du changement ». (…)  « Le Vert est la couleur du XXI e siècle. Ce que nous voulons, c’est prendre à bras-le-corps les enjeux de demain et le faire en amont, de manière douce, plutôt que de nous retrouver dans quelque temps face à un mur et de devoir prendre des mesures brutales. Le changement, c’est bien. Lui donner du contenu, c’est mieux », conclut-il, appelant à glisser un bulletin vert dans l’urne. (…)

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