Dans la nuit du 1er au 2 avril 1944, les troupes de la Waffen SS fusillaient 86 civils innocents âgés de 15 à 75 ans à Ascq, en représailles un acte de sabotage des résistants français le 1er avril au soir sur la voie de chemin de fer (aucun blessé).
Ce massacre, d’une barbarie inouïe, ne doit pas tombé dans l’oubli. C’est pour cela que je me suis associé cette année encore à l’hommage rendu aux victimes.
Je tiens par ailleurs à souligner la justesse de la déclaration de Gérard Caudron, maire de Villeneuve d’Ascq : « Se souvenir est un devoir que nous avons face à ceux qui ont souffert et face aux génération à venir. La paix c’est comme la liberté, on en mesure la valeur le jour où on la perd. »
Revue de presse :
Hier, à Ascq, le bruit du massacre est revenu dans les esprits… en silence (Voix du Nord)