L’article paru dans Métro, reproduis ci-dessous.

Eau : un retour aux régies qui coule de source

L’association « Eau Secours 31″ a noté une amélioration dans la transparence des chiffres sur la gestion de l’eau à Toulouse. Et continue à réclamer le système des régies.

Bien mais peut mieux faire. C’est en substance le message qu’a adressé l’association Eau secours 31 à la communauté urbaine Toulouse Métropole après la réunion de la Commission consultative des services publics locaux (CCSPL). En 2012, l’association a noté une augmentation modérée du mètre cube. « Si la hausse est de 4 %, globalement depuis mai 2010, le prix du prix du mètre cube a baissé de 25 % », constate Anne Bouzinac, présidente de l’association, qui souhaite que la même révision s’applique à l’assainissement.

Car, dans l’agglomération, les habitants ne sont pas tous logés à la même enseigne : les écarts varient de 1,38 euro le mètre cube (Colomiers, Cornebarrieu, Pibrac, Tournefeuille qui sont en régie directe) à 2,03 euros à Bruguières, Dremil-Lafage ou Saint-Jory.

25 à 30% d’économies

Pour les militants d’Eau secours, la solution pour parvenir à une harmonisation des tarifs serait de revenir au système des régies, d’autant que la plupart des contrats qui lient les collectivités – dont Toulouse et Blagnac – aux compagnies privées de régie comme la Lyonnaise des eaux ou Veolia prennent fin en 2015. « Dans les villes qui ont adopté le système de régie, la facture a baissé de 25 à 30 % en moyenne », ajoute Anne Bouzinac.

 

La finance prend la main sur les gouvernements

Maintenant que les institutions financières ont complètement investi les organisations internationales, elles peuvent s’attaquer aux états grâce à « la dette » qu’elles ont promues via les politiques à leur botte (c’est à dire les dirigeants de tous les gros partis).

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